La Contrée de l'Eau.
La Contrée de l'Eau regroupe maints archipels bercés par les flots. Enchanteurs du premier coup d'œil, il ne faut pas s'attarder à la brume qui drape les îlots – ces derniers nappés de marécages et mangroves, où le brouillard se veut asphyxiant. Le soleil ne semble pas arriver à percer les épais nuages, et les terres sont labourées par les pluies diluviennes.
Le gris, cette couleur maudite, recouvre toute la nation. Les habitations, les habitants. Comme un lourd manteau, elle s'infiltre partout. Les nuits glacées empêchent bien souvent les citoyens de dormir confortablement – nichés dans de vétustes péniches ou cabanons.
Seul point fort de cette Contrée : la pêche. Les multiples points d'eau octroient une faune aquatique comme nul part et permet aux âmes éloignées de la capitale de se nourrir sans être happés par les Hôzuki.
Le gris, cette couleur maudite, recouvre toute la nation. Les habitations, les habitants. Comme un lourd manteau, elle s'infiltre partout. Les nuits glacées empêchent bien souvent les citoyens de dormir confortablement – nichés dans de vétustes péniches ou cabanons.
Seul point fort de cette Contrée : la pêche. Les multiples points d'eau octroient une faune aquatique comme nul part et permet aux âmes éloignées de la capitale de se nourrir sans être happés par les Hôzuki.
Politique.
Le pouvoir laissé à l'abandon – par la disparition ou le meurtre du Daimyo, les citoyens ont longuement vécu dans la crainte permanente d'être les dommages collatéraux d'une guerre clanique. Si l'indice de pauvreté n'est pas le plus bas du continent, c'est uniquement dû aux riches entrepreneurs venus s'approprier les services des très nombreux mercenaires, receleurs, pirates et assassins vivant sur l'île.
L'odeur de l'absence d'un Empereur attira les requins – et désormais coiffés de la tunique du pouvoir, les Hôzuki imposèrent leur loi, ayant les Kaguya dans le creux d'une main. Insufflant un univers dystopique où la faim, le froid et les guerriers sont des menaces permanentes, les Hôzuki maintiennent leur influence grâce à la peur nationale. Exécution publique, despotisme meurtrier, les Hôzuki s'amusent à torturer ses habitants. Certains, pour s'en défaire, vont jusqu'au suicide afin de se libérer de cette tyrannie.
Quiconque ne plierait pas le genou devant le nouveau Daimyo subirait les foudres de son châtiment, à commencer par les Yuki, malheureux ennemi d'antan de la nouvelle alliance et aujourd'hui portés disparus...
L'odeur de l'absence d'un Empereur attira les requins – et désormais coiffés de la tunique du pouvoir, les Hôzuki imposèrent leur loi, ayant les Kaguya dans le creux d'une main. Insufflant un univers dystopique où la faim, le froid et les guerriers sont des menaces permanentes, les Hôzuki maintiennent leur influence grâce à la peur nationale. Exécution publique, despotisme meurtrier, les Hôzuki s'amusent à torturer ses habitants. Certains, pour s'en défaire, vont jusqu'au suicide afin de se libérer de cette tyrannie.
Quiconque ne plierait pas le genou devant le nouveau Daimyo subirait les foudres de son châtiment, à commencer par les Yuki, malheureux ennemi d'antan de la nouvelle alliance et aujourd'hui portés disparus...
Sociale.
La Contrée de l'Eau mais surtout la capitale, s'est transformée en une terre inhospitalière où la vie se veut courte et chaotique après la domination des Hôzuki.
La liberté est réprimée à tous les niveaux. Le territoire est notoirement connu pour ses recours aux détentions arbitraires, la torture, les traitements dégradants et les camps de prisonniers. Le pouvoir impose également des punitions collectives pour diverses infractions fictives contre la nation, asservissant des centaines de milliers de citoyens - y compris les enfants - à l’esclavage. Périodiquement, les Hôzuki exécutent publiquement des citoyens pour vol de propriété de l’État, accumulation de nourriture, ou tentative d'exil...
Pour survivre, il faut ployer le genou et être prêt à prouver sa loyauté en tuant mère et enfants, ou migrer dans les bourgades voisines sans se faire prendre...
La liberté est réprimée à tous les niveaux. Le territoire est notoirement connu pour ses recours aux détentions arbitraires, la torture, les traitements dégradants et les camps de prisonniers. Le pouvoir impose également des punitions collectives pour diverses infractions fictives contre la nation, asservissant des centaines de milliers de citoyens - y compris les enfants - à l’esclavage. Périodiquement, les Hôzuki exécutent publiquement des citoyens pour vol de propriété de l’État, accumulation de nourriture, ou tentative d'exil...
Pour survivre, il faut ployer le genou et être prêt à prouver sa loyauté en tuant mère et enfants, ou migrer dans les bourgades voisines sans se faire prendre...