La Contrée du Vent.
Désert éternel, chaleur suffocante, sécheresse continue et créatures cauchemardesques - la Contrée du Vent s'entoure de dunes ardentes et de scorpions vénéneux. Cette prison étouffante, jonchée uniquement de la teinte solaire, ne connaît ni les nuages ni la pluie.
En son centre, la fastueuse capitale du Rōran immerge du sable comme un mirage. Riche de part ses ressources minières et sa plaque tournante commerciale, elle est le seul site à être irrigué en eau. Berceau de la civilisation, protégée par les Sabaku et Bunraku, elle pullule d'architectures orientales, de coûteux magasins...
Perdus dans le désert, d'autres peuples nomades survivent, en quête d'oasis et de prospérité – dont les Rokkakū qui ont moiré leurs modestes campements en une cité aréique surnommée « Suna », un territoire fantôme à l'exception de demeures sablonneuses.
En son centre, la fastueuse capitale du Rōran immerge du sable comme un mirage. Riche de part ses ressources minières et sa plaque tournante commerciale, elle est le seul site à être irrigué en eau. Berceau de la civilisation, protégée par les Sabaku et Bunraku, elle pullule d'architectures orientales, de coûteux magasins...
Perdus dans le désert, d'autres peuples nomades survivent, en quête d'oasis et de prospérité – dont les Rokkakū qui ont moiré leurs modestes campements en une cité aréique surnommée « Suna », un territoire fantôme à l'exception de demeures sablonneuses.
Politique.
Autrefois territoire nécessiteux, où les ossements dans le désert étaient plus nombreux que les habitants, la Contrée du Vent est un territoire désormais nanti. Habitant au-dessus d'une mine d'or, la nation devint la première richesse mondiale en l'espace d'une nuit. Les Sabaku, considérés comme des messies, redorèrent leur blason en s'imposant « clan dominant » au sein de la contrée. La cité de Rōran vit le jour et une nouvelle politique la suivit.
Le Daimyo, allié aux Sabaku, eux-mêmes contrôlant l'armée des Bunraku, se fait discret et reste dans l'ombre de la famille souveraine du sable. Désormais asservis par le dictat de l'argent, les citoyens s'agenouillent devant le Seigneur et ses montagnes d'or, acceptant même les travaux les plus ingrats pour acquérir de quoi vivre en retour.
Le Daimyo, allié aux Sabaku, eux-mêmes contrôlant l'armée des Bunraku, se fait discret et reste dans l'ombre de la famille souveraine du sable. Désormais asservis par le dictat de l'argent, les citoyens s'agenouillent devant le Seigneur et ses montagnes d'or, acceptant même les travaux les plus ingrats pour acquérir de quoi vivre en retour.
Sociale.
Le peuple du Vent se divise en deux ; ceux acceptant le joug du Seigneur et les règles de sa cité puis ceux refusant son dictat et s'effaçant dans les profondeurs désertiques.
Pour les habitants de la cité dorée, ils semblent jouir de nombreux privilèges, claquemurés au cœur d'un havre de paix où les grains de sable eux-mêmes ne peuvent pénétrer. Oasis, commerces, habitations prestigieuses... Un parfait mirage – qui quand il s'efface, laisse apparaître la misère. Payés piètrement pour des heures de travail interminable, le Seigneur demande en plus à ses citoyens une taxe de vie si haute qu'elle occasionne un seuil de pauvreté drastiquement bas.
Certains individus nagent cependant dans la richesse, en ayant investi dans la nation ou avec des métiers avantagés.
A l'extérieur des murs de Rōran, les peuples ayant refusé de plier le genou vivent de peu de choses, mais parviennent contre toute attente, à s'en sortir bien mieux que leurs congénères. Fidèles aux traditions nomades, les clans arpentent le désert de long en large et se nourrissent de ce qu'ils peuvent – scorpions, mygales, scarabées... Affranchis du Daimyo et des Sabaku, ils parviennent malgré tout à accepter certaines quêtes ingrates pour ce dernier en temps que mercenaires, libérant ainsi la charge de l'armée de marionnettiste présente au sein de la cité - bien trop occupée à guetter l'éveil d'une mutinerie...
Pour les habitants de la cité dorée, ils semblent jouir de nombreux privilèges, claquemurés au cœur d'un havre de paix où les grains de sable eux-mêmes ne peuvent pénétrer. Oasis, commerces, habitations prestigieuses... Un parfait mirage – qui quand il s'efface, laisse apparaître la misère. Payés piètrement pour des heures de travail interminable, le Seigneur demande en plus à ses citoyens une taxe de vie si haute qu'elle occasionne un seuil de pauvreté drastiquement bas.
Certains individus nagent cependant dans la richesse, en ayant investi dans la nation ou avec des métiers avantagés.
A l'extérieur des murs de Rōran, les peuples ayant refusé de plier le genou vivent de peu de choses, mais parviennent contre toute attente, à s'en sortir bien mieux que leurs congénères. Fidèles aux traditions nomades, les clans arpentent le désert de long en large et se nourrissent de ce qu'ils peuvent – scorpions, mygales, scarabées... Affranchis du Daimyo et des Sabaku, ils parviennent malgré tout à accepter certaines quêtes ingrates pour ce dernier en temps que mercenaires, libérant ainsi la charge de l'armée de marionnettiste présente au sein de la cité - bien trop occupée à guetter l'éveil d'une mutinerie...