- Kanketsusen no Sôhei
- Statut : Ermite • A
Expérience : 33
Feuille de personnage
Inventaire: Gunbai | Senbons | Shurikens
Entrevue nébuleuse.
Mizu no Kuni
Plus d’ardentes lueurs sur le ciel alourdi, qui semblait tristement rêver. Les arbres démunis de leur feuillage, demeuraient sans mouvement et dressaient au loin une dentelle grisâtre. Dans cet air flottaient les apaisements, les résignations et les inquiétudes. Du sol consterné montait une rumeur étrange, quelque peu surhumaine. Cabalistique langage entendu uniquement par les âmes attentives. Perché sur l’une des branches d’un Kuromatsu séculaire, l'anachorète se situait face à un large étang, habillé de son atour atypique, observant cette flaque tout aussi limpide que son esprit.
Des bruissements mystérieux inquiétaient les ombres, on pouvait y apercevoir des Yôkaï cachés dans la pénombre. Silencieuse, la brume des marais caressait les feuillages, des feuilles que froissaient les prémices de l'hiver. L'homme au Gunbai pouvait y voir le vitrail de son âme démultipliée par son être, miroir psychique de son amoralité dorée, était-il condamné à sombrer comme ses aïeuls aux regards et aux agissements plus sombres encore que la nuit ? Sôhei sonnait comme une histoire virginale et redondante, cornaquée par l’opulence des sens. Sur la surface de ces eaux cristallines, son passé se dessinait et prenait une forme mosaïque surréaliste, enluminé par la brume lactescente et les lucioles luminescentes et environnantes.
Celui qui avait été enrôlé dans le mercenariat revenait d'une entrevue avec un envoyé du seigneur de l'Eau, lui quémandant de remplir une missive de la plus haute instance. Mais la question qui bousculait son esprit céleste, semblait humaine avant d'être celle d'un shinobi, pour la première fois, il s'affichait un tantinet dubitatif quant aux répercussions d'une pareille tâche. Lui qui aimait à se sentir libre, se ferait sans nul doutes nombres d'ennemies quelque soit son choix car, dorénavant il était trop tard pour faire volt-face, ayant accepté et embrassé ce funeste destin.
L'errant fut brusquement, tiré de ses songes chimériques et sibyllines par le biais d'un bruitage rappelant la craquelure d'une branche, non loin de sa position, un peu plus bas, il aperçut une silhouette étrange, qui cela pouvait-il bien être ?
Sur ses gardes, bien que détendu d'apparence, celui qui naquit parmi les moines du Feu décida d'ouvrir le dialogue par une question anodine. Se sachant particulièrement destructeur, il n'aimait pas à priori user de la violence pour de simples broutilles; décidément, ce virtuose du ninshû représentait à lui seul, une énigme pour le moins complexe. « Que me vaut cette irruption, Mizujin ?» Sa voix satinée résonnait alors autour de l'étang, l'on ne pouvait ressentir aucune animosité dans le timbre de cette dernière.
Des bruissements mystérieux inquiétaient les ombres, on pouvait y apercevoir des Yôkaï cachés dans la pénombre. Silencieuse, la brume des marais caressait les feuillages, des feuilles que froissaient les prémices de l'hiver. L'homme au Gunbai pouvait y voir le vitrail de son âme démultipliée par son être, miroir psychique de son amoralité dorée, était-il condamné à sombrer comme ses aïeuls aux regards et aux agissements plus sombres encore que la nuit ? Sôhei sonnait comme une histoire virginale et redondante, cornaquée par l’opulence des sens. Sur la surface de ces eaux cristallines, son passé se dessinait et prenait une forme mosaïque surréaliste, enluminé par la brume lactescente et les lucioles luminescentes et environnantes.
Celui qui avait été enrôlé dans le mercenariat revenait d'une entrevue avec un envoyé du seigneur de l'Eau, lui quémandant de remplir une missive de la plus haute instance. Mais la question qui bousculait son esprit céleste, semblait humaine avant d'être celle d'un shinobi, pour la première fois, il s'affichait un tantinet dubitatif quant aux répercussions d'une pareille tâche. Lui qui aimait à se sentir libre, se ferait sans nul doutes nombres d'ennemies quelque soit son choix car, dorénavant il était trop tard pour faire volt-face, ayant accepté et embrassé ce funeste destin.
L'errant fut brusquement, tiré de ses songes chimériques et sibyllines par le biais d'un bruitage rappelant la craquelure d'une branche, non loin de sa position, un peu plus bas, il aperçut une silhouette étrange, qui cela pouvait-il bien être ?
Sur ses gardes, bien que détendu d'apparence, celui qui naquit parmi les moines du Feu décida d'ouvrir le dialogue par une question anodine. Se sachant particulièrement destructeur, il n'aimait pas à priori user de la violence pour de simples broutilles; décidément, ce virtuose du ninshû représentait à lui seul, une énigme pour le moins complexe. « Que me vaut cette irruption, Mizujin ?» Sa voix satinée résonnait alors autour de l'étang, l'on ne pouvait ressentir aucune animosité dans le timbre de cette dernière.
- Hôzuki Kenju
- Statut : Épéiste • A
Expérience : 14
Feuille de personnage
Inventaire: Kunais, Shurikens, Samehada.
Le monde n’était plus celui que j’avais jadis connu. Les Hozuki, mes pairs et pères non pas de sang mais d’amour, n’étaient pas ceux en qui j’avais le plus confiance aujourd’hui. Il faut le dire clairement après tout, rien n’est plus important pour shinobi, surtout de mon rang, que la protection du village de la brume et de la contrée de l’eau.
Cette protection, malheureusement, n’était aujourd’hui illusion. J’ai vu de mes yeux le sang d’innocente personne couler à flot. J’ai fait couler ce sang moi-même et un jour, quelqu’un fera couler le mien, j’en suis conscient. Pour l’heure, je devais trouver un moyen de délivrer le peuple Mizujin de son gourou aux dents acérées et aux pouvoirs singulier de liquéfaction. J’ai parcouru le monde entier et à travers mes missions, j’ai vu comment les autres contrées vivaient. Le bonheur de se savoir en sécurité, protéger par les clans principaux qui ont fait de l’harmonie du village leur nindo. Les Senju pour Tsuri, les Sabaku pour le Roran. Alors pourquoi dans ma si belle contrée de l’eau, les choses étaient différentes ? Ces questionnements ne m’ont apporté qu’une seule réponse plausible : Tout simplement car les Hommes qui mènent les troupes, ceux charger de prendre les décisions, sont différents.
En effet, à Tsuri il n’est aucunement question de pouvoir personnel pour les Senju. Le clan est d’ailleurs en conflit, même si les deux arrivent à se supporter, avec les Uchiha. Ils les considèrent comme des moins que rien, certaines rumeurs rapportent même qu’il y a des morts dans les deux camps et ce n’est pas dû seulement aux missives dont ils s’occupent. Malgré ça, les deux trouvent quand même le courage, le cran, la capacité d’unir leurs forces pour un idéal commun : la protection du village de Tsuri et de la contrée du feu. Et il en va de même pour la contrée du vent et le Roran.
C’est ainsi que mon corps bougea instinctivement. Me déplaçant rapidement, je n’avais qu’un seul et unique but : rejoindre le dernière emplacement connu d’un homme dont j’avais eu vent de la venue en ces terres. Une sorte de mercenaire dont les dignitaires et la famille Hozuki ont employer les services pour qu’il retrouve et tue une certaine membre importante de la famille Yuki. C’était ça que je voulais éviter, la mort de cette femme, qui avait un certain poids dans les décisions des nukes Yuki. Il fallait qu’ils attendent, résiste encore un peu, le temps pour moi de trouver un moyen de renouer les liens entre les trois clans Hozuki, Kaguya et Yuki. Une fois arrivé sur les lieux, je fût rapidement détecté par le shinobi en question. Perché sur sa branche, il n’hésita pas à me demander pourquoi j’étais venu à sa rencontre. Samehada sur le dos commençait doucement à frémir, son chakra était sûrement pure et exquis. Malgré ça, l’heure n’était pas à l’affrontement, il fallait que j’arrive à le convaincre par les mots et rien d’autre.
« Tu es bien Sohei ? » Dis-je avant de reprendre la parole rapidement. « Je suis Kenju … Hozuki ».
Aucune animosité non plus dans le timbre de ma voix, seulement du calme et de la sérénité. Il connaissait sûrement mon nom, moi le génie de la contrée de l’eau, possesseur d’une épée particulière, plus jeune épéiste et chef des épéistes jamais connu à ce jour. Je ne voulais aucunement un combat ici, seulement une discussion entre deux hommes censé. Il fallait qu’il comprenne que tuer cette femme Yuki conduirait à la perte du village que j’affectionne tant et à la souffrance de ces habitants. C’était de mon devoir, moi chef des épéistes, de tout faire pour empêcher cela. Même si cela doit me coûter la vie.
Cette protection, malheureusement, n’était aujourd’hui illusion. J’ai vu de mes yeux le sang d’innocente personne couler à flot. J’ai fait couler ce sang moi-même et un jour, quelqu’un fera couler le mien, j’en suis conscient. Pour l’heure, je devais trouver un moyen de délivrer le peuple Mizujin de son gourou aux dents acérées et aux pouvoirs singulier de liquéfaction. J’ai parcouru le monde entier et à travers mes missions, j’ai vu comment les autres contrées vivaient. Le bonheur de se savoir en sécurité, protéger par les clans principaux qui ont fait de l’harmonie du village leur nindo. Les Senju pour Tsuri, les Sabaku pour le Roran. Alors pourquoi dans ma si belle contrée de l’eau, les choses étaient différentes ? Ces questionnements ne m’ont apporté qu’une seule réponse plausible : Tout simplement car les Hommes qui mènent les troupes, ceux charger de prendre les décisions, sont différents.
En effet, à Tsuri il n’est aucunement question de pouvoir personnel pour les Senju. Le clan est d’ailleurs en conflit, même si les deux arrivent à se supporter, avec les Uchiha. Ils les considèrent comme des moins que rien, certaines rumeurs rapportent même qu’il y a des morts dans les deux camps et ce n’est pas dû seulement aux missives dont ils s’occupent. Malgré ça, les deux trouvent quand même le courage, le cran, la capacité d’unir leurs forces pour un idéal commun : la protection du village de Tsuri et de la contrée du feu. Et il en va de même pour la contrée du vent et le Roran.
C’est ainsi que mon corps bougea instinctivement. Me déplaçant rapidement, je n’avais qu’un seul et unique but : rejoindre le dernière emplacement connu d’un homme dont j’avais eu vent de la venue en ces terres. Une sorte de mercenaire dont les dignitaires et la famille Hozuki ont employer les services pour qu’il retrouve et tue une certaine membre importante de la famille Yuki. C’était ça que je voulais éviter, la mort de cette femme, qui avait un certain poids dans les décisions des nukes Yuki. Il fallait qu’ils attendent, résiste encore un peu, le temps pour moi de trouver un moyen de renouer les liens entre les trois clans Hozuki, Kaguya et Yuki. Une fois arrivé sur les lieux, je fût rapidement détecté par le shinobi en question. Perché sur sa branche, il n’hésita pas à me demander pourquoi j’étais venu à sa rencontre. Samehada sur le dos commençait doucement à frémir, son chakra était sûrement pure et exquis. Malgré ça, l’heure n’était pas à l’affrontement, il fallait que j’arrive à le convaincre par les mots et rien d’autre.
« Tu es bien Sohei ? » Dis-je avant de reprendre la parole rapidement. « Je suis Kenju … Hozuki ».
Aucune animosité non plus dans le timbre de ma voix, seulement du calme et de la sérénité. Il connaissait sûrement mon nom, moi le génie de la contrée de l’eau, possesseur d’une épée particulière, plus jeune épéiste et chef des épéistes jamais connu à ce jour. Je ne voulais aucunement un combat ici, seulement une discussion entre deux hommes censé. Il fallait qu’il comprenne que tuer cette femme Yuki conduirait à la perte du village que j’affectionne tant et à la souffrance de ces habitants. C’était de mon devoir, moi chef des épéistes, de tout faire pour empêcher cela. Même si cela doit me coûter la vie.
- Kanketsusen no Sôhei
- Statut : Ermite • A
Expérience : 33
Feuille de personnage
Inventaire: Gunbai | Senbons | Shurikens
Entrevue nébuleuse.
Mizu no Kuni
Aux yeux la brume était comme un voile évanescent, fluide et rassurante elle était aussi légère qu'insaisissable. Les silhouettes deux deux hommes voyaient leurs contours estompés, tremblotants tel un mirage. Au sein de ce brouillard, pas de bruit ni de mouvement, le son de leur voix y était légèrement étouffés, plus qu’atténués, certaines ombres d'ailleurs, ne pouvaient être aperçut qu’au tout dernier moment.
Le fait que cet homme connaissait son nom ne le surprenait guère, car un détail plutôt flagrant l'interpella, cette énorme épée dans son dos, cela ne faisait plus aucun doute une fois que celui-ci daigna décliner son identité.« Hozuki ? Je vois, tu fais partie des sept...» Oui, du septuor de bretteur redoutable, Kenju apparaissait comme étant le gantelet de fer de ce groupuscule, une personnalité marquante de la nation de l'Eau. L'Uchiha restait tout de même perché sur sa branche, adossé contre le tronc d'un arbre, sa jambe pieds nus se balançant lentement, signe d'un état de tranquillité absolu.
« Je t'écoute Kenju, qu'est ce que le détenteur de Samehada, pourrait bien vouloir d'un pauvre ermite ? »
Il tirait profit du fait que personne ne connaissait sa véritable identité ni sa provenance, nonobstant, il semblait un tantinet intrigué quant à la venue de l'Hozuki, même s'il se doutait bien des dessous de son apparition. Soupçonnant de vouloir converser à propos de la missive qui lui avait été fraîchement octroyée, car en effet, il avait mené sa petite investigation de manière méthodique et furtive. Connaissant les enjeux d'une telle tâche à accomplir et les répercussions sans équivaut, que cela engendrerait au sein d'une Nation pourtant paisible vue de l'extérieur.
Le fait que cet homme connaissait son nom ne le surprenait guère, car un détail plutôt flagrant l'interpella, cette énorme épée dans son dos, cela ne faisait plus aucun doute une fois que celui-ci daigna décliner son identité.« Hozuki ? Je vois, tu fais partie des sept...» Oui, du septuor de bretteur redoutable, Kenju apparaissait comme étant le gantelet de fer de ce groupuscule, une personnalité marquante de la nation de l'Eau. L'Uchiha restait tout de même perché sur sa branche, adossé contre le tronc d'un arbre, sa jambe pieds nus se balançant lentement, signe d'un état de tranquillité absolu.
« Je t'écoute Kenju, qu'est ce que le détenteur de Samehada, pourrait bien vouloir d'un pauvre ermite ? »
Il tirait profit du fait que personne ne connaissait sa véritable identité ni sa provenance, nonobstant, il semblait un tantinet intrigué quant à la venue de l'Hozuki, même s'il se doutait bien des dessous de son apparition. Soupçonnant de vouloir converser à propos de la missive qui lui avait été fraîchement octroyée, car en effet, il avait mené sa petite investigation de manière méthodique et furtive. Connaissant les enjeux d'une telle tâche à accomplir et les répercussions sans équivaut, que cela engendrerait au sein d'une Nation pourtant paisible vue de l'extérieur.
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