Seiki.
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La quête du pouvoir a toujours été un dangereux moteur. Malgré les sentiers destructeurs qui devaient être empruntés pour y accéder, les guerriers de cette ère en ont fait leur essence. Ils pourfendaient les terres décharnées - avec une gloire exquise, des dogmes écrasant les âmes et un seul dessein : détruire, posséder, dominer. Les grandes contrées étaient bercées par le fer des armes, une mélodie routinière dans ce climat sous tension constante.Afin de plus rapidement effleurer l'apogée du prestige, des clans naquirent et de puissants êtres ne firent plus qu'un pour s'assurer d'une invulnérable descendance. Au cœur du chaos, émergèrent des factions, des combattants liés par le sang, le chakra et les capacités. Leurs apparitions diminuèrent le désordre créé par les soldats indépendants – qui se rangèrent face à cette montée en puissance. L’accalmie permit aux Daimyos - anciennement terrassés par ce chaos, de reprendre leurs fonctions. Les frontières se dressèrent, scindant les nations divisées.



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Sujet : Ôtoko no Shuryō [ Shû ]

rédigé le Jeu 17 Mar - 14:31

狩猟男
Ôtoko no Shuryō




« Un ami est quelques fois plus proche qu'un frère. »


Les topazes du soir que dévorait l’ivraie lançaient leurs premiers feux sur l’ombre de la nuit, d’où s’envolait un oiseau, sans visage et sans bruit se dirigeant vers les multiples et majestueuses verdures du pays du feu teinté du reflet lumineux et orangeâtes du crépuscule céleste.

Que pouvaient donc bien raconter ces végétaux en leur majesté ombrageante ? Quelles vertus relataient-ils à travers leur douce chorégraphie ainsi menée par le vent ? Etaient-ce des paroles augurantes ou le récit de leur trace séculaire?

Ces arbres demeuraient ni plus ni moins que le symbole d’une nature meurtrie qui s’époumonait telle une maladie incurable, reclus dans un bastion précaire, à l’abri de cet être vivant épouvantable qui la saccageait puis la préservait. À l’image des shinobi, qui eux, étaient leur propre cancer. Protégeant leurs patries dans l’optique ou plutôt l’espoir que leurs semblables ne leur arrachent pas ces êtres si chers à leurs yeux.

Rêveur et penseur, le prétendant au titre de Raikage s’enivrait de ce délicieux nectar que lui proposait la nature. S’étant donné rendez-vous avec un individu dont il était plus ou moins proche depuis le bain de sang shinobi.

Vêtu d’un ensemble classieux, un costume d’homme d’affaire tout ce qu’il y a de plus élégant, afin de passer inaperçu et ne pas être victime de l’hypocrisie de ceux qui partageaient sa profession. Situé au sommet d’une colline, contemplant la Nature qu’il considérait comme un temple où de vivants piliers laissaient parfois sortir de confuses paroles; L’homme y passait à travers des bois emblématiques, qui l’observaient avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondaient dans une ténébreuse et profonde unité.

Son faciès paisible, son regard posé sur la toile des champs des fleurs d’Azalée qui balançaient leur houssoir comme une gorge d’ange aux ailes teinté d’un rouge-sang. Dont le souffle du soir au parfum de l’orange, éventait la splendeur aux allures de sérénade.

Les yeux posés une nouvelle fois en direction du ciel, constatant la nuit qui s’avançait sur la voie embrasée, d’ombre et de paix sereine, elle enveloppait les cieux. Les étoiles quant à elles, s’ouvraient sous un souffle invisible, et brillaient, comme ses innombrables fleurs de feu, dans un ciel étouffant.

Gwon-Ryong avait appris à admirer et respecter la nature dès son plus jeune âge, comme on le lui a enseigné au monastère céleste. En effet, le Jônin était doté d’une longanimité sans pareil, les apprentissages du rite ancestral auquel il s’adonnait chaque jours l’influençait grandement dans son quotidien, favorisant son côté pacifiste.  

Non loin de Shubaku, qui, comme une ville enchantée, était un véritable théâtre de paix et d’animosité en tout genre. Proposant divers événements et activités pour le moins divertissantes. L’endroit idéal pour se ressourcer et se changer les idées. Des idées, c’était ce que le Long-Wang avait de mieux, des projets qui défilaient dans sa tête à l’instar des flocons de laines parsemant le ciel d’Hi no Kuni.

Désireux de les partager avec son frère d’arme, avec lequel il combattu courageusement l’armée du groupuscule de l'Aube. L’héritier du Sõryu Enrenshô voyait en l’Iwajin bien plus qu’un simple shinobi talentueux, rescapé des aléas de la vie tout comme lui, Shû était comme un frère que les kami ne le lui avaient jamais octroyé. Bien heureusement pour ces deux crapules, leurs patries respectives étaient alliées, et ils pouvaient déambulés sans prohibitions à condition que leurs supérieurs hiérarchiques soient au courant de leurs activités sibyllines, faisant passer ces divers rencontres pour des associations inter-villages, bien que cela était réellement le cas.

« T’es en retard connard ! Tu te prostituais ou quoi enfoiré !? » S'écriait-il l'air agacé.


Cela allait faire une heure environs que Ryong était parvenus sur les terres de la patrie flamboyante à attendre paisiblement l’arrivée du prochain patriarche du village d’Iwa. À la suite d’un long périple maritime déplaisant pour sa part du fait de son mal de mer notamment. Toujours du haut de la colline, d’où il examinait la beauté divine de la faune, déviant son regard en direction de son interlocuteur l’espace d’un instant.

Peu à peu, son visage s’affichait plus serein bien que satisfait de voir son alter ego venu des contrées lointaines de la terre. Mains dans les poches, il contempla une dernière fois le ciel où il aperçut une Colombe blanche qui côtoyait les cieux et demeurait avec les anges et les dieux. Elle était telle une note de musique qui plaisait à l’ouïe, si rayonnante comme une fleur qui s’épanouissait sous cette voile orangé ornementées de ces trésors si scintillants.

« Shû.. il t'est déjà arrivé de vouloir être doté d’ailes ? Afin de t'envoler et de vouloir te mettre à l’abri du monde pourris dans lequel on vit ? Pense-tu que cette béatitude entre les villages durera longtemps ? Tu le sais comme moi, les vœux d'Uzumaki Naruto seront tôt ou tard brisés par la nation la plus honnête et entreprenante, elle aura accompli ceux que les autres planifiaient dans l'ombre... » Disait-il calmement en zieutant le ciel.


L’athlète venait de divulguer une infime partie de ses préoccupations. Posant ces questions en adoptant un air des plus méditatifs, laissant entrevoir à son homologue, un Ryong soucieux du monde dans lequel il vivait. Leurs patriarches respectifs ne pouvant bientôt plus assumés pleinement leurs fonctions de dirigeant suprême.

Shû et Gwon était en l’occurrence, voués à préserver cette paix de façon perpétuel lorsque leurs intronisation au grade de Raikage et Tsuchikage se réalisera. Deux hommes partageant les mêmes rêveries que le défunt héro de Konoha et de l’alliance shinobi, Uzumaki Naruto, qui mourut dans l’espérance d’un monde meilleur. Cet hôte du roi des démons à queues, cet homme qui désirait plus que tout devenir Hokage afin de changer l’avenir des shinobi.  

Après cet échange emplit de paroles profondes, l’originaire de la nation foudroyante rejoignit finalement le jônin de la roche positionné plus bas en se laissant glisser par la rocaille, posant amicalement sa main sur l’épaule de l’Iwajin.

« Bref, je crève la dalle pas toi ? Suis-moi, je connais un bar super non loin d’ici à Shubaku, on y discutera tranquillement. » Ajoutait-il en adressant un léger sourire à son interlocuteur.


Rejoignant l’entrée de la ville marchande, musardant avant de retrouver un établissement où ils discuteront autour d’une bonne table orné de plats savoureux et de boissons alcoolisé rafraîchissantes. Shubaku se voyait être un véritable théâtre de paix et d’animosité en tout genre, proposant d’innombrables activités événementiels notamment.

Ryong et son acolyte marchaient donc parmi la foule, chaleur humaine et rires frénétiques, des enfants jouant avec des chiots dans les ruelles, les marchands hurlant leurs dernières offres alléchantes aux passants. L’estomac du blond à la chevelure hérissé grognait après avoir reniflé cette odeur de grillades si captivante. Le bar-restaurant n’était désormais plus très loin alors qu’il remarqua une présence mystérieuse l’épiant depuis son entrée dans ce modeste village avec Shû.

Même en costard habillé d’une superbe cravate, sa couverture en tant que guerrier du village caché des cumulus tombait à l’eau, enfin, il ne fallait pas s’y attarder, la paranoïa n’était pas du goût du dernier grand roi dragon et il profita de cet instant agréable en compagnie d’un des seuls shinobi pouvant prétendre être son ami.

© GS
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Sujet : Re: Ôtoko no Shuryō [ Shû ]

rédigé le Sam 26 Mar - 19:12

Le pays du feu, un endroit prospère et très bien gardé. Ce pays était le pays des shinobis par excellence car il avait jadis hérité d’un ninja pas comme les autres : Uzumaki Naruto. Shû était présent sur les terres de feu, tapis dans l’ombre, caché dans la forêt dense. Ses talents de senseurs étaient complétement actifs, il pouvait repérer chaque émanation de chakra aux alentours. Le prochain Tsuchikage pouvait donc facilement esquiver les rondes et autres ninja du feu patrouillant dans les environs. Même s’il n’était pas un ninja ennemi, il n’aimait pas trop croiser du monde en dehors des personnes qu’il connaissait.

Le prochain Tsuchikage avait rendez-vous avec une vieille connaissance à lui, un ami avec qui il avait enduré la guerre. Un membre puissant et influant du village de Kumo qui répondait au nom de Gwon-Ryong. Cet homme était pour lui comme son reflet dans un miroir, son frère d’une autre mère. Depuis que les deux hommes avaient vécu la guerre ensemble, ils se retrouvaient souvent quelques part pour prendre un café ou encore manger un morceau. Et là, c’était à Shû de le rejoindre. En effet, le prochain Tsuchikage avait profité de sa mission réussi au pays de l’eau pour rejoindre son frère d’arme au pays du feu.

Ryong avait soit disant quelque chose à lui dire. Une aubaine pour Shû qui voulait depuis longtemps faire un tour au pays du feu pour connaitre les environs. E d’après ce qu’l avait entendu, le pays du feu et surtout le village de Konoha regorgeait de petit restaurant dont les saveurs pouvait envoyer ses papilles gustatives au paradis. Et c’est ainsi qu’il s’était retrouvé à courir partout dans le pays du feu. En effet, Shû était déjà très en retard et il savait que Ryong n’aimait pas attendre. Il savait pertinemment comment était son ami et attendre, n’était pas dans son vocabulaire. Il devait donc faire vite, mais le souci, c’est que même s’il pouvait se téléporter maintenant devant Ryong, il était déjà en retard.

Le Jônin d’Iwa savait pertinemment qu’il allait se prendre une ou deux réflexions sur son retard de la part de son ami proche. Et une fois arrivé devant lui, la réaction et les réflexions sur le retard de Shû ne se firent pas attendre. Un petit rictus se fit voir sur le coin de ses lèvres, avant de répondre presque instinctivement. « Ferme ta grande gueule, j’esquivais les patrouilles pour pas me faire repérer. » Une phrase simple, avec des mots simples. Il n’en fallait pas plus pour que Ryong comprenne. Et puis après ça, le ninja de Kumo était partit dans un délire complétement incompréhensible sur les oiseaux … Shû le regardait, et n’avait pas l’air de reconnaitre son ami. Il attendu que ce dernier finisse ce qu’il avait à dire pendant son moment philosophique et rétorqua directement après. « Waaaah, je te laisse quelques semaines et tu deviens pédé ? De toute manière, ça sert à rien d'en parler maintenant. Il y aura toujours des guerres, faut juste se tenir prêt à casser des bouches. C'est le metier de ninja qui veux ça. Tu veux faire le thé, fallait faire cuisinier. »  Une phrase dites avec un air anodin. Il était en train de se foutre complétement de la gueule de son meilleur ami. Comme d’habitude quoi.

Puis comme à son habitude, le ninja de Kumo parla de bouffe. Oh manger, il adorait ça. Shû e demandait des fois comment celui-ci pouvait manger autant de nourriture … Il se demandait ça, puis commençait lui à manger. Les deux hommes avait enfaite le même appétit, Shû n’aimait juste pas l’admettre. Et une fois arrivé dans le village, Shû détecta une présence aux alentours. Parmi la foule présente dans ce modeste village, un homme était là et épiais les deux hommes. « Y’a un con qui nous surveille, je ne sais pas si t’as remarqué. Tu veux la jouer comment ? »  Des simples mots qui en disait long. Les deux hommes se connaissaient sur le bout des doigts. Shû faisait facilement confiance à Ryong et vice versa ! La suite ne dépendait donc que du ninja des nuages.
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Sujet : Re: Ôtoko no Shuryō [ Shû ]

rédigé le Dim 17 Avr - 18:09

狩猟男
Ôtoko no Shuryō




« Un ami est quelques fois plus proche qu'un frère. »

Shukuba s’était emplit d’une animosité tumultueuse en ce début de soirée. L’air chaud caressait la chevelure d’or du Jônin, emmenant sur son passage, des odeurs de grillades de charcuteries particulièrement délectables.

La voûte céleste offrait une toile des plus majestueuses de par son teint à la fois bleuâtre et rougeâtre,  sous ce tableau somptueux se trouvait la modeste ville dont les bruitages festifs raisonnaient sur des kilomètres à la ronde. Des citoyens empestant l’alcool et certaines herbes illicites, tandis que dans les ruelles sombres, certains ne s’empêchaient pas de forniquer près des poubelles sous l’œil d’un Kumojin écœuré.

« Ouais t’inquiète je l’ai cramé. On fait rien pour le moment, au moindre mouvement suspect on le démarre. »Disait-il en esquissant un sourire.


Visiblement, le prochain Tsuchikage avait également ressenti cette étrange sensation d’être épier, les deux hommes n’étaient pas frères pour rien. Au moindre geste, le duo de futur Kage de la foudre et de la terre allait faire subir leur courroux à leur poursuivant, bien évidemment, Gwon-Ryong ne niait pas le fait qu’il s’agissait peut être de leur paranoïa excessive. Autant rester sur ses gardes dans de telles circonstances, surtout lorsqu’on le sait que celui-ci s’est vu apparaître dans le récent livre des chasseurs de shinobi à risques, une prime flottait sur sa tête malgré la modeste somme qu’elle signifiait.

La démarche des deux rois transpirait le charisme, marchant au beau milieu d’une foule comme des proxénètes pleins aux as, cependant, Ryong se distinguait de son acolyte de par son ensemble des plus classieux. Les passantes appartenant à la gente féminine ne cachaient pas leur attirance à l’encontre des shinobi juvéniles, allumant ces dernier avec des gestes très provocateurs.

Parvenant devant l’entrée de l’établissement spécialisé dans la restauration et autres activités suspectes allant à l’encontre des lois, l’adepte des arts martiaux fit craquer sa nuque avant de poser son pied à l’intérieur, suivi de près par son homologue du même âge.

« C’est plutôt pas mal comme ambiance ici ! Matte moi ces meufs Shû, tu vas pouvoir te dépuceler et rompre avec ta main droite haha ! » S'écriait-il d'un ton moqueur.


La salle principale se rapprochait plus d’un club de strip-tease que d’un traditionnel restaurant konohajin, des femmes aux atouts non négligeables dansant sur des barres métalisés, des hommes hurlant sans cesses face aux courbes divines de ces dernières. Les rescapés de la quatrième grande guerre s’avancèrent en direction d’une table du fond, à l’abri des regards indiscrets, de cette position, ils s’octroyaient une vue assez vaste sur l’endroit et ses recoins.

S’installant confortablement sur son canapé de cuir noirâtre ornementé de petites inscriptions jaunâtre. Un environnement chic et plaisant si on mettait de côté cette clientèle sauvageonne et bruyante, enfin, il fallait bien de l’ambiance pour permettre à Ryong d’identifier pleinement leur mystérieux poursuivant sans se faire remarquer.

Une serveuse au faciès angélique s’approcha de la table de l’Iwajin et du Kumojin dans l’objet de prendre leur commande respectives, le guerrier des cumulonimbus menu dans les mains, ne pu s’empêcher de jouer les beaux parleurs devant un si haut degré de beauté.

« Bonsoir jolie demoiselle, j'me présente, Gwon-Ryong mais tu peux m’appeler Ryong. Fait pas gaffe mon pote est gay, je l’ai emmené ici pour qu’il puisse retrouver goût aux femmes bwahaha. ( Il tousse ) Sinon vous êtes compris dans le menu ou pas ? Haha plus sérieusement je prendrais une assiette Yakisoba et trois bières.» Disait Ryong en jouant les comiques.


Gwon s’amusait en lançant des pics continuels à son frère d’arme, la serveuse n’était pas insensible au sens de l’humour de son interlocuteur et nota par la suite les demandes de ses clients sur son calepin.

Observant la pièce dans son ensemble, remarquant l’atmosphère chaleureux et comique y régnant, la musique n’était pas déplaisante tout ceci formait un milieu des plus agréables pour le prochain Kage-raï qui s’enfonçait dans le creux de son siège. Fouillant dans la poche de la veste de son costard, il sorti un bouquin qui ne devait pas être inconnu aux yeux de son fidèle ami.

Le posant au centre de la table rectangulaire les séparant, il l’avait ouvert à une page regroupant les derniers déserteurs et traîtres recensés par les villages voisins.

« Eh t’es chaud pour une chasse à l’homme ? Perso j’ai plus un sous, alors je te laisse choisir lequel de ces tocards on va aller castagner, on commence ce soir la traque mon pote.» Demandait Gwon, particulièrement motivé à l'idée de traquer en compagnie de son meilleur ami.


L’ancien moine shaolin retourna le livre dans le sens du roi fou, afin que celui-ci puisse voir plus en détails le visage des nuke-nin et les diverses informations les concernant. Pendant ce temps Ryong adossé sur son canapé, décrotta son nez et envoya ce qu’il en restait sur la table à proximité d’un geste du doigt.

La serveuse arrivait alors au bout d’une attente assez raisonnable par rapport à ce qui avait été demandé, déposant les plateaux et souhaitant un ‘ bon appétit’ tout en faisant un clin d’œil malicieux à l’originaire du pays foudroyant, qui souriait bêtement.

« (Il boit comme un alcoolique).. Bon alors.. glup. T’a choisi l’heureux élu glup…glup ou pas ? Prend celui avec la plus grosse prime fait pas ta baltringue.( il rote comme un malpropre ). » Ajoutait le fêtard se délectant de ce délicieux nectar alcoolisé.


Le destin de l'un de ces hommes dont la tête était de manière précise, représentée sur ce cahier de chasse se trouvait entre les mains de Shû, doté d'une confiance sans faille en ses capacités ainsi qu'en celles de son collègue issu d'un village étranger. Se disant qu'aucun déserteur à l'heure actuel, ne pouvait résister à cette alliance redoutable. Pendant ce temps, aucune trace de leur poursuivant qui avait par ailleurs, sans doute réussit à pénétrer au sein de l'établissement.

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Sujet : Re: Ôtoko no Shuryō [ Shû ]

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