- InvitéInvité
Les différences entre le pays du Vent et celui de l'Eau ont de quoi me dépaysés totalement. Native de Kiri, je suis habituée au température fraîches et à la pluie répétitive. Aux alentours de Suna, la chaleur monte, le soleil tape et il n'existe plus d'humidité auteur des corps.
La "paix" ayant été instaurée de par le monde, les échanges se faisaient plus courant. Néanmoins, beaucoup de pays avaient pris la décision d'augmenter leurs forces militaires. Certains ayant sans doute tendance à se reprocher une mauvaise préparation et de s'être trop reposé sur leurs acquis avant la guerre.
Celle-ci avait au moins eu le mérite de ramener la lumière dans les esprits : même en temps de paix, il faut imaginer la guerre.
C'est une façon de penser que j'avais décidé d'adopter à vie. Après tout, nous étions tous formés pour combattre, non ? Alors, continuer à se dire que la guerre peut être à nos portes, nous permet de garder l'esprit vif et la puissance armée suffisamment entraînée.
Néanmoins, cette paix avait également un autre avantage : je pouvais voyager plus sereinement. Malgré mon amour pour Kiri, voir d'autres paysages me plaît étrangement.
C'est ainsi que je me retrouvais dans le désert de Suna. La chaleur brûle ma peau diaphane et le manque d'humidité dans l'air me compresse la gorge. J'ai sans doute sous-estimé la violence du désert et la dureté de la vie là-dedans.
Je continue ma marche jusqu'à enfin apercevoir l'eldorado : un Oasis. On associe souvent ceux-ci à des mirages, et je prie silencieusement pour que ça ne soit pas le cas. Cette fois, je risquerais réellement de m'enterrer six mètres sous le sable en quête de fraîcheur.
Lorsque je pose enfin le pied à proximité de l'eau, je comprend qu'elle n'ait pas un mirage, mais bien présente. J'y plonge les mains et les passe ensuite sur mon visage. Je pense rester un moment ici, ne serait-ce que pour profiter de ce paysage si unique et singulier. Il paraît presque éphémère : comme s'il allait disparaître dès que j'aurais tourner le dos.
A l'ombre d'un semblant de palmier, la température est des plus agréable. Les relents de chaleur montent encore à la tête, mais ils sont atténués par la présence des grands arbres. J'ai hésité un instant à me baigner, et puis, j'en ai déduit que je garderais l'humidité de l'oasis sur mes vêtements. La chaleur ferait disparaître une bonne partie de l'eau, mais n'enlèverait pas tout et rendrait sans aucun doute le reste de ma progression plus difficile. Ou moins agréable en tout cas.
Alors, j'ai finalement décidé de me reposer simplement pendant quelques longues minutes. L'hésitation d'allumer une cigarette me taraude depuis peu. J'ignore si cela peut être une bonne idée ou non en raison de la chaleur.
J'abdique rapidement.
Ma cigarette écrasée, je me relève, et puis j'hésite une nouvelle fois. Mes compétences en orientation n'étant pas des plus développées, j'ignore combien de temps de marche il me reste jusqu'au village de Suna. La logique voudrait que je prenne de l'eau, au cas où.
Mais puisque je ne suis pas logique, je reste plantée là, face à l'Oasis, attendant de prendre une décision.
- InvitéInvité
Cette journée là, je m'étais entraîné avec Temari Hime. Elle était dure en entrainement. Elle avait grandit à la dure alors elle nous le faisait sentir. J'avais l'impression que se rendre à la fin de chacun de ses entraînements en vie faisait de moi de plus en plus un sur-homme. Bien que j'étais marionnettiste, il me fallait me tenir en forme. Après tout, je devais traîner sur mon dos Mr.Louis parfois plusieurs jours d'affilé pour mieux économiser mon chakra. Bref, après un tel entrainement j'avais jugé bon qu'une petite balade à l'oasis était bien mérité. Je pris donc le chemin de celle-ci. Connaissant maintenant le chemin par coeur.
Lorsque je fus assez près pour en voir les palmiers de loin je vis une silhouette seule. Étais-ce un animal blessé qui avait choisit un palmier pour se reposer ou mieux : mourir ? Je devais aller voir mais surtout : si il était malade je devais évité son sang ou sa salive de se propager dans l'oasis qui maintenait Suna en vie. C'était une tâche simplement logique. J'étais aussi atteint par le manque d'eau que tout le monde.
Alors que je me rapprochai, je constatai qu'il s'agissait d'une femme. Elle aurait certainement pu être comparé à Temari physiquement de loin si ce n'était pas de son visage. Des formes bien proportionnés, néanmoins l'inconnu semblait avoir des hanches plus fines que Temari-Hime. Je m'approchai aussi subtilement que nécessaire. Je voulais savoir si elle était un bandit ou ce genre de chose. Je démontrai ma surprise lorsque je fus assez prêt d'elle.
- Regardez Mr.Louis... Une femme d'un pays reculé... Vous croyez qu'elle est de Kiri vut son teint de lait ? Nous qui espérions trouver une de ces bêtes à carapaces... Quoi qu'il en soit il ne faut pas se plaindre, une femme embellit toujours une journée d'un simple sourire. Enchanté chère inconnue quel est votre nom le mien est Takumi comme le village des artisans.
Je ne pouvais la quitté du regard. Je déplaçai Mr.Louis de manière à ce qu'il prenne un peu d'eau dans son ventre pour en ramener plus qu'une simple cruche par voyage. Je sortis de mes poches une brochette de viande cuite par mes soins. Ce n'était pas de la viande d'élevage comme les poulets à Suna mais plutôt des créatures sauvage que j'avais affronté ici et là dans le désert. Parfois du serpent, parfois des pangolins.
- Vous avez faim ?
Lorsque je fus assez près pour en voir les palmiers de loin je vis une silhouette seule. Étais-ce un animal blessé qui avait choisit un palmier pour se reposer ou mieux : mourir ? Je devais aller voir mais surtout : si il était malade je devais évité son sang ou sa salive de se propager dans l'oasis qui maintenait Suna en vie. C'était une tâche simplement logique. J'étais aussi atteint par le manque d'eau que tout le monde.
Alors que je me rapprochai, je constatai qu'il s'agissait d'une femme. Elle aurait certainement pu être comparé à Temari physiquement de loin si ce n'était pas de son visage. Des formes bien proportionnés, néanmoins l'inconnu semblait avoir des hanches plus fines que Temari-Hime. Je m'approchai aussi subtilement que nécessaire. Je voulais savoir si elle était un bandit ou ce genre de chose. Je démontrai ma surprise lorsque je fus assez prêt d'elle.
- Regardez Mr.Louis... Une femme d'un pays reculé... Vous croyez qu'elle est de Kiri vut son teint de lait ? Nous qui espérions trouver une de ces bêtes à carapaces... Quoi qu'il en soit il ne faut pas se plaindre, une femme embellit toujours une journée d'un simple sourire. Enchanté chère inconnue quel est votre nom le mien est Takumi comme le village des artisans.
Je ne pouvais la quitté du regard. Je déplaçai Mr.Louis de manière à ce qu'il prenne un peu d'eau dans son ventre pour en ramener plus qu'une simple cruche par voyage. Je sortis de mes poches une brochette de viande cuite par mes soins. Ce n'était pas de la viande d'élevage comme les poulets à Suna mais plutôt des créatures sauvage que j'avais affronté ici et là dans le désert. Parfois du serpent, parfois des pangolins.
- Vous avez faim ?
- InvitéInvité
Alors que je regarde une nouvelle l'astre diurne, tout en couvrant mes yeux, un jeune garçon apparaît non loin. Enfin, il ne doit pas être beaucoup plus jeune que moi.
Je ne sais pas si c'est dans ma nature ou lié à mon vécu, toujours est-il que je rapproche ma main gauche de l'étui attaché à ma cuisse. Malgré le climat de paix ambiante qui semble avoir pris d'assaut le monde ninja, les brigands et autres forcenés, sans parler des déserteurs, sont toujours là. J'imagine que chaque société se doit d'avoir son nombre de hors-la-loi.
Néanmoins, je me détend lorsque que je l'entend en pleine conversation avec ce qui semble être une marionnette. Nous sommes à Suna, après tout. Il n'a pas l'air hostile, et si ça n'est qu'une façade, je doute qu'il se présente à moi de cette façon si simple.
La chaleur nous entoure, roule sur nos peaux et nos corps et entrent en nous. Sans doute est-ce différent pour lui, il a toujours vécu dans ce climat - je pense du moins - alors il ne doit pas ressentir les mêmes effets que moi. La douceur de l'humidité de Kiri me manque cruellement. Mais c'est moi qui l'ai voulu.
La petite marionnette se déplace, alors que le jeune homme s'adresse à moi. Je reste un instant sur mes gardes.
- Makkura, j'opine en le détaillant. Je suis du village de Kiri.
Alors, le Sunajin sort une petite brochette de viande. J'arquais un sourcil. Quel drôle personnage... Mais il semblait en même temps si accueillant et hospitalier. Sans doute les traditions et coutumes varient de pays en pays, et je trouve cela des plus intéressants que de découvrir comment le fait de vivre dans tel ou tel endroit nous influence.
J'esquisse un sourire avant de répondre à sa seconde interrogation.
- Assez. Je crois que je me suis un peu écartée de mon chemin.
Et cependant que je repose mon regard sur la voûte céleste, je me rend à l'évidence : je me suis bel et bien perdue.
Mais le détour valait le coup.
- InvitéInvité
- Makkura ? C'est original comme prénom. Vous êtes la première femme de kiri que je rencontre. Est-il vrais que la plupart des femmes ont votre teint ? Excuse ma curiosité mais je n'y peux rien. Je n'ai jamais pu m'empêcher de vouloir apprendre plus sur tout. Je suis insatiable que voulez-vous c'est ainsi.Je la regardais de haut en bas mais non pas comme les garçons de l'académie regardaient les filles en évaluant "la marchandise" comme si chacun d'entres-eux étaient expert. J'admirais sa beauté certes mais comme on admire une oeuvre d'art. C'est à dire avec une certaines curiosité et une certaines admiration. Aucune perversité dans mon regard. De plus, je surveillais les signes de fatigues sur son corps : cernes, transpiration inutile,etc. J'aurais aimé passé mes mains un peu partout sur Makkura pour mieux la détailler.
- Commencez par ces quelques brochettes de viandes sauvages... Je ne garantis pas que vous les aimerez toutes au goût mais votre corps lui, les apprécieras toutes.Lorsqu'elle confirma qu'elle s'était belle et bien perdu, j'eu un sourire en coin. Non pas le genre de sourire qu'un opportuniste fait mais plutôt un sourire de compassion. Vous êtes une femme étonnante si je puis me permettre chère Makkura. De tout les endroits ou votre esprit décide de se perdre, il se perd au meilleur endroit pour être retrouvé. Vous êtes ici à l'oasis de Suna. C'est ici que tout les habitants du village viennent chercher leur eau.Je regardai Mr.Louis et sortit une brochette de ma poche pour moi aussi manger et but un peu à la source. Je grommela contre Mr.Louis "non ce n'est pas le moment Mr.Louis". Je ramenai mon regard vers notre charmante invité
- Vous allez préférer la ville de Suna à son désert j'imagine. Elle est en bas d'une colline et donc plus éloigné en altitude du soleil. De plus, la ville est dans un espèce de cratère donc nous sommes moins exposé à cette chaleur que le désert en général. Certes, ce ne sera pas Kiri mais vous trouverez cela surement mieux.
Moi qui venait du pays des rivières, malgré que ma famille avait pour origine Suna, j'avais un teint légèrement plus pâle que les autres. Je ne vivais à Suna que depuis 2 ans après tout. J'avais le bronzage naturel des Suna-Jin. Soudainement Mr.Louis se mit à rire sans que j'ai eu à agiter mes fils de chakra. C'était techniquement impossible. Le rire des marionnettes était dut aux claquements de l'ossature qui s'entre-choquai. Surement quelques chose avait passé sous nos pieds. Je sortis un kunai et le planta dans le sol dès que je vis le sol faire un semblant de sillon. J'en retirai un serpent qui s'agita légèrement avant de mourir. Puis je regardai Mr.Louis.
- Merci Mr.Louis ! Je rapportai mon attention vers la Kiri-Jin juste après avoir mis le serpent mort dans le ventre de Mr.Louis . Je vous rassure Makkura, les Suna-Jin qui ne sortent pas souvent du village peuvent passer une vie sans tué ces bêtes mais moi je visite constamment chaque recoin de ce pays alors je préfère toujours avoir un peu de viande sauvage. De plus, mis à part le poulet ici... toute viandes vient de vos pays et donc elle est cher puisque les marchands viennent de loin. C'est bien à Suna que vous vouliez aller non ?
- Commencez par ces quelques brochettes de viandes sauvages... Je ne garantis pas que vous les aimerez toutes au goût mais votre corps lui, les apprécieras toutes.Lorsqu'elle confirma qu'elle s'était belle et bien perdu, j'eu un sourire en coin. Non pas le genre de sourire qu'un opportuniste fait mais plutôt un sourire de compassion. Vous êtes une femme étonnante si je puis me permettre chère Makkura. De tout les endroits ou votre esprit décide de se perdre, il se perd au meilleur endroit pour être retrouvé. Vous êtes ici à l'oasis de Suna. C'est ici que tout les habitants du village viennent chercher leur eau.Je regardai Mr.Louis et sortit une brochette de ma poche pour moi aussi manger et but un peu à la source. Je grommela contre Mr.Louis "non ce n'est pas le moment Mr.Louis". Je ramenai mon regard vers notre charmante invité
- Vous allez préférer la ville de Suna à son désert j'imagine. Elle est en bas d'une colline et donc plus éloigné en altitude du soleil. De plus, la ville est dans un espèce de cratère donc nous sommes moins exposé à cette chaleur que le désert en général. Certes, ce ne sera pas Kiri mais vous trouverez cela surement mieux.
Moi qui venait du pays des rivières, malgré que ma famille avait pour origine Suna, j'avais un teint légèrement plus pâle que les autres. Je ne vivais à Suna que depuis 2 ans après tout. J'avais le bronzage naturel des Suna-Jin. Soudainement Mr.Louis se mit à rire sans que j'ai eu à agiter mes fils de chakra. C'était techniquement impossible. Le rire des marionnettes était dut aux claquements de l'ossature qui s'entre-choquai. Surement quelques chose avait passé sous nos pieds. Je sortis un kunai et le planta dans le sol dès que je vis le sol faire un semblant de sillon. J'en retirai un serpent qui s'agita légèrement avant de mourir. Puis je regardai Mr.Louis.
- Merci Mr.Louis ! Je rapportai mon attention vers la Kiri-Jin juste après avoir mis le serpent mort dans le ventre de Mr.Louis . Je vous rassure Makkura, les Suna-Jin qui ne sortent pas souvent du village peuvent passer une vie sans tué ces bêtes mais moi je visite constamment chaque recoin de ce pays alors je préfère toujours avoir un peu de viande sauvage. De plus, mis à part le poulet ici... toute viandes vient de vos pays et donc elle est cher puisque les marchands viennent de loin. C'est bien à Suna que vous vouliez aller non ?
- InvitéInvité
J'ai goûté à sa brochette, et le goût, bien que singulier, n'était pas déplaisant pour autant. Le jeune Takumi semble être quelqu'un d'aussi spécial que sa nourriture. Si toutefois on peut juger quelqu'un sur ce qu'il mange ou cuisine. J'ignore si c'est politiquement correct.
Sa question me fait sourire. Il est quelqu'un de curieux, cela se voit aux premiers abords. Mais cette curiosité n'a rien de malsain, on y trouve seulement une quête de connaissance, de savoir. J'aime les gens qui ont cette soif d'apprendre. Certains se contentent de leurs acquis, se reposent sur ce qu'ils savent déjà et ne cherchent pas plus loin. La curiosité n'est pas un vilain défaut, comme le fait croire une maxime très connue. C'est un atout lorsqu'elle est bien dosé. Pas lorsqu'il s'agit de fourrer son nez partout, à tord et à travers.
- Je suis plus pâle que la moyenne, j'acquiesce en disant cela. Néanmoins, c'est vrai que nous sommes bien moins bronzé que les Suna-Jin, je le regard alors et esquisse un sourire. Et tu apprendra que la curiosité et quelque chose de bien, lorsqu'elle est utilisée à bon escient.
Quant à sa brochette, je ne la trouve pas le moins du monde désagréable au goût. Au contraire, je trouve cela tout aussi dépaysant que le voyage. Les goûts n'ont rien à voir avec ceux de Kiri, et c'est aussi drôle de voir comme les coutumes alimentaires peuvent varier. Je me demande ce qu'ils peuvent manger dans les autres pays.
Il faudra que je m'y rende un jour.
- J'ai vaguer, sans savoir comment. C'est ainsi que je suis arrivée ici, je souris encore en pensant à ma première réaction. J'ai même penser que ça n'était qu'un mirage, en voyant cet oasis se dessinait au milieu des dunes.
La manière dont il parle de Suna me donne davantage envie de découvrir le village de Suna. Je ne sais pas si je parlerai un jour de Kiri comme cela à un étranger. Mon village natal a d'autres charmes et il est à jamais le seul port d'attache de mon chemin de Ninja.
- J'imagine que la village me plaira, en effet...
Et je lève encore mon regard vers le ciel bleu, un tant soit peu rêveuse. Mais les mouvements de sa marionnette me sortent de ma rêverie. Le Ninja tue habilement un petit serpent. Je commence à comprendre d'où vient la viande de mes brochettes.
J'en reste songeuse. Quoique je ne préfère pas savoir quels animaux il a pu tuer pour la confectionner.
Il s'énonce une nouvelle fois et je constate qu'en plus d'être curieux, il n'hésite pas à poser les questions qu'il faut.
- Je vais à Suna, en effet. Mais dis-moi, cette marionnette, c'est une arme redoutable en plus d'être un compagnon de route non ? Je désigne le certain " Mr. Louis "
Je n'ai jamais eu l'occasion d'affronter de marionnettiste, néanmoins, j'aimerais, un jour, admirer ce genre de combat qui doit être bien singulier et particulièrement impressionnant.
- InvitéInvité
Je levai les yeux au ciel rapidement pour voir sa position dans le ciel. Nous allions devoir nous diriger vers Suna bientôt si nous voulions arriver à temps. Les gardes des portes se montraient toujours plus ou moins hostile envers les gens qui arrivaient à l'entrée de la ville en pleine nuit car la plupart du temps, cela voulait dire qu'ils allaient devoir tué des prédateurs inutilement. J'avais toujours tout ce qu'il fallait sur moi pour dormir à deux. Après tout, j'ignorais dans quel genre de situation j'allais me retrouver. Par exemple : j'étais venu à l'oasis pour remplir mon stock d'eau et j'étais tombé sur une charmante Kiri-Jin.
- La curiosité peut être utilisé à mauvais escient ? Qu'es-ce que tu veux dire ? La curiosité restera toujours la curiosité. Elle nous pousse à vouloir savoir pourquoi si ou pourquoi cela.
Elle m'expliqua qu'elle avait eu pour but d'atteindre Suna mais qu'elle aurait cru le chemin plus facile d'accès et plus évident mais après tout, le fait de vivre dans un environnement hostile faisait de nous de meilleur guerrier et ça limitait énormément le nombre de criminels. Après tout c'était logique puisque les bandits de grand chemin avaient besoin de chemin à surveiller... que les voleurs avaient besoin d'endroit où cacher leurs butins etc. Dans le pays du vent il n'y avait que 2 villes et dans les 2 cas, il suffisait d'un simple regard de travers aux gardes pour qu'ils vous laissent à vous même dans le désert alors imaginez si vous étiez louche.
- Oui Mr.Louis est mon garde du corps. C'est moi qui l'ai construit. L'ancien Mr.Louis voulait ma mort mais il n'a pas réussit. Celui-ci est mon protecteur et en plus, il est pratique pour transporter des trucs. N'ait pas peur de Mr.Louis, il adore les femmes tout comme moi.
Par ancien Mr.Louis, je désignais l'ours à qui appartenais la peau d'ours qui recouvrait mon pantin. Mon pantin était des plus réaliste puisqu'il avait les traits d'un véritable ours. Cet ours était-il mort de par ma main ou la main divine je l'ignorais encore pour être franc. Maintenant je me méfiais des ours mais à Suna, il n'y en avait pas alors je n'avais pas vraiment à m'en soucier. Dans le pays du vent, le danger était en meutes. Ce n'était jamais des prédateurs de taille comme un ours mais plutôt des meutes comme des chiens errants et affamé . Après tout qui dit gros prédateur dit grosse somme de nourriture à consommer. L'humain avait de la difficulté à survivre en ce genre d'environnement alors les bêtes...
J'emboîta le pas en direction de Suna.
- Vous venez ? Soit nous dormons ici cette nuit, soit nous partons immédiatement vers Suna. Les nuits du désert sont désagréable. Ici comme ailleurs les prédateurs sortent principalement la nuit.
- La curiosité peut être utilisé à mauvais escient ? Qu'es-ce que tu veux dire ? La curiosité restera toujours la curiosité. Elle nous pousse à vouloir savoir pourquoi si ou pourquoi cela.
Elle m'expliqua qu'elle avait eu pour but d'atteindre Suna mais qu'elle aurait cru le chemin plus facile d'accès et plus évident mais après tout, le fait de vivre dans un environnement hostile faisait de nous de meilleur guerrier et ça limitait énormément le nombre de criminels. Après tout c'était logique puisque les bandits de grand chemin avaient besoin de chemin à surveiller... que les voleurs avaient besoin d'endroit où cacher leurs butins etc. Dans le pays du vent il n'y avait que 2 villes et dans les 2 cas, il suffisait d'un simple regard de travers aux gardes pour qu'ils vous laissent à vous même dans le désert alors imaginez si vous étiez louche.
- Oui Mr.Louis est mon garde du corps. C'est moi qui l'ai construit. L'ancien Mr.Louis voulait ma mort mais il n'a pas réussit. Celui-ci est mon protecteur et en plus, il est pratique pour transporter des trucs. N'ait pas peur de Mr.Louis, il adore les femmes tout comme moi.
Par ancien Mr.Louis, je désignais l'ours à qui appartenais la peau d'ours qui recouvrait mon pantin. Mon pantin était des plus réaliste puisqu'il avait les traits d'un véritable ours. Cet ours était-il mort de par ma main ou la main divine je l'ignorais encore pour être franc. Maintenant je me méfiais des ours mais à Suna, il n'y en avait pas alors je n'avais pas vraiment à m'en soucier. Dans le pays du vent, le danger était en meutes. Ce n'était jamais des prédateurs de taille comme un ours mais plutôt des meutes comme des chiens errants et affamé . Après tout qui dit gros prédateur dit grosse somme de nourriture à consommer. L'humain avait de la difficulté à survivre en ce genre d'environnement alors les bêtes...
J'emboîta le pas en direction de Suna.
- Vous venez ? Soit nous dormons ici cette nuit, soit nous partons immédiatement vers Suna. Les nuits du désert sont désagréable. Ici comme ailleurs les prédateurs sortent principalement la nuit.
- InvitéInvité
Avec le soleil qui déclinait, doucement, certes, la chaleur diminuait peu à peu. Le changement était presque imperceptible sur le moment, mais cela faisait déjà longtemps que j'étais à cet Oasis. Et depuis mon arrivée, il ne faisait plus aussi chaud. La proximité de l'eau avait sans aucun doute un lien avec cela. Mais la nuit approchant en est pour beaucoup.
Takumi m'interrogeait sur la curiosité. Par réflexe, j'esquissais un nouveau sourire.
- Lorsqu'on est curieux au point de ne pas respecter certaines limites. Par exemple, se sentir obligé d'aller fouiller dans les affaires de quelqu'un d'autre sans se méfier de ce qu'on pourrait trouver. Il a de la bonne et de la mauvaise curiosité.
Je me concentrais à nouveau sur la marionnette. C'était vraiment quelque chose d'étonnant. Certains marionnettistes sont même capables de donner l'impression que le pantin est réellement vivant, qu'il est animé de sa propre force et qu'il fait ce que bon lui semble. Comme si son possesseur n'avait finalement aucune emprise sur lui.
De plus, la construction de celles-ci m'étonnait également. Tout est pensé pour être le plus pratique et parfois le plus meurtrier possible. Chaque espace libre cache un piège potentiellement mortel.
Même la manière dont il parlait de son pantin avait quelque chose de dépaysant. Mr. Louis était un vrai compagnon de voyage, presque une personne sur qui il pouvait se reposer.
Je m'imaginais porter une telle attention à un objet qui me suivrais partout. Je n'en n'avais pas. Seuls mes tatouages me suivaient partout où j'allais. Ils faisaient partis de mon identité, mon émancipation et mon recul face aux atrocités de mon père. En somme, ils constituaient un rempart avec la violence des actes de ce monstre et moi. Comme si le fait de voir mon corps, dénaturé par les poisons, redevenant mien à chaque tatouage.
Il m'interrogeait encore sur mon envie d'aller à Suna. Il était temps de quitter ce petit coin de paradis pour rejoindre la civilisation. Mais cet arrêt ici resterait sans aucun doute graver dans mes souvenirs, même après mon retour à Kiri.
- Allons-y !
Je me relevais et me lancer à sa suite, non sans adresser un tout dernier regard à l'oasis.
- InvitéInvité
Une fois qu'elle acquiesça et qu'elle me suivit, je pris le chemin de Suna. Je trouvais Makkura particulièrement charmante. L'intellect dont elle faisait preuve devait y être pour quelque chose. Je n'avais pas pour habitude de me laisser séduire par des lèvres pulpeuse ou une poitrine. J'étais à la fois comme mes pantins : sans pulsions et pourtant animé. J'étais aux dires des anciens du village, un reflet de mon père à mon âge mais plus terne. Au moins il y avait de quoi nous différencier. Le chemin entre l'oasis et le village durait quelques heures. Le soleil allait surement être sur le point de se coucher.
- Vous avez laissé votre petit ami à Kiri ? Enfin je veux dire... D'après la liste de traits que j'ai noté en les entendants sortir de la bouche des mecs du coin, vous devez être populaire auprès de la gentes masculine non ? En plus, vous êtes d'une sagesse certaines et d'un intellect particulier. Désolé... Je crois que c'est ce dont vous parliez lorsque vous m'avez parlé de curiosité mal placé. Dite moi, c'est comment de grandir à Kiri ? Il doit y avoir beaucoup de gens et de gens. D'ailleurs vous mangez quoi ? Je sais que manger de la viande sauvage est nécessaire seulement au pays du vent alors je me demandais. Quand je vivais au pays des rivières, mon père vivait comme à Suna, il mangeait tout ce qu'il chassait et rien ne devait être jeté. Les os servaient parfois à fabriquer des armes comme des manches par exemple. Ma mère trouvait cela dégoûtant mais elle me faisait rire. Vous avez souvent quitté Kiri ? Vous n'êtes pas une genin en fuite ça se voit alors vous devez avoir une certaine expérience de vie.
Nous marchions côte à côte. Je voulais lui démontrer qu'elle était mon égale. Marcher derrière elle aurait pu lui laisser croire qu'elle était ma captive ou que je l'avais à l'oeil et marché devant elle aurait pu lui laissé croire que je m'imposais en tant qu'alpha/chef alors que je voulais simplement la guidé à Suna dans la plus grande des innocences.
- Vous avez laissé votre petit ami à Kiri ? Enfin je veux dire... D'après la liste de traits que j'ai noté en les entendants sortir de la bouche des mecs du coin, vous devez être populaire auprès de la gentes masculine non ? En plus, vous êtes d'une sagesse certaines et d'un intellect particulier. Désolé... Je crois que c'est ce dont vous parliez lorsque vous m'avez parlé de curiosité mal placé. Dite moi, c'est comment de grandir à Kiri ? Il doit y avoir beaucoup de gens et de gens. D'ailleurs vous mangez quoi ? Je sais que manger de la viande sauvage est nécessaire seulement au pays du vent alors je me demandais. Quand je vivais au pays des rivières, mon père vivait comme à Suna, il mangeait tout ce qu'il chassait et rien ne devait être jeté. Les os servaient parfois à fabriquer des armes comme des manches par exemple. Ma mère trouvait cela dégoûtant mais elle me faisait rire. Vous avez souvent quitté Kiri ? Vous n'êtes pas une genin en fuite ça se voit alors vous devez avoir une certaine expérience de vie.
Nous marchions côte à côte. Je voulais lui démontrer qu'elle était mon égale. Marcher derrière elle aurait pu lui laisser croire qu'elle était ma captive ou que je l'avais à l'oeil et marché devant elle aurait pu lui laissé croire que je m'imposais en tant qu'alpha/chef alors que je voulais simplement la guidé à Suna dans la plus grande des innocences.
- InvitéInvité
J'ai esquissé un léger sourire en entendant ce flot de parole ininterrompu. Je n'ai jamais eu de vrai problèmes avec les gens trop curieux, sauf lorsque cela passe la barre du trop personnel. Ou alors, lorsque c'est trop forcé pour être naturel.
La curiosité de Takumi n'as rien de trop insistant. Au contraire, elle a quelque chose de candide, presque d'enfantin. Cette soif de savoir est une qualité que tous n'ont pas. J'aime voir des gens aussi curieux, aussi avides.
Néanmoins, et comme il le prévoit, Takumi franchit légèrement la ligne du trop personnel. Personnellement, je me fiche totalement de parler de certains aspects plus intime de mon existence. A contrario, d'autres se trouverait offusqué.
- Je ne laisse personne à Kiri, j'esquisse un sourire.
Mais sa question sur le fait de grandir dans le village de la pluie me surprend un peu. Je n'y ai pas réellement grandit : je ne sortais pas. Toutefois, c'est un moment et un aspect de mon existence que je ne veux pas absolument pas mettre sur le tapis.
Les gens ont tendance à être trop compatissant par moment. A force d'hypocrisie, certains feignent d'être désolés ou attristés pour moi. Or, je ne recherche pas cela. Mon passé ne pourra être changé, que ça soit par des pleurs ou de la pitié. J'ai appris à faire mon chemin avec cela et ma route sera toujours ainsi.
- Grandir à Kiri, hein ? Je te raconterais ça une prochaine fois. C'est une assez longue histoire, je lui lance un léger clin d'oeil pour ponctuer cette part de mystère.
Ses récits sont aussi captivants. Tout comme il est curieux, il aime son savoir. Et le partager semble être une seconde nature chez lui.
- J'ai rarement quitté mon village, j'y suis attaché tu sais, j'ajoute, songeuse. Mais j'aime beaucoup découvrir de nouveaux pays... Dis-moi, pourquoi être devenu marionnettiste ?
Je songe encore à son pantin. Son compagnon à la fois vivant et inexistant. Ce sujet m'intéresse et me passionne un tant soit peu.
La curiosité de Takumi n'as rien de trop insistant. Au contraire, elle a quelque chose de candide, presque d'enfantin. Cette soif de savoir est une qualité que tous n'ont pas. J'aime voir des gens aussi curieux, aussi avides.
Néanmoins, et comme il le prévoit, Takumi franchit légèrement la ligne du trop personnel. Personnellement, je me fiche totalement de parler de certains aspects plus intime de mon existence. A contrario, d'autres se trouverait offusqué.
- Je ne laisse personne à Kiri, j'esquisse un sourire.
Mais sa question sur le fait de grandir dans le village de la pluie me surprend un peu. Je n'y ai pas réellement grandit : je ne sortais pas. Toutefois, c'est un moment et un aspect de mon existence que je ne veux pas absolument pas mettre sur le tapis.
Les gens ont tendance à être trop compatissant par moment. A force d'hypocrisie, certains feignent d'être désolés ou attristés pour moi. Or, je ne recherche pas cela. Mon passé ne pourra être changé, que ça soit par des pleurs ou de la pitié. J'ai appris à faire mon chemin avec cela et ma route sera toujours ainsi.
- Grandir à Kiri, hein ? Je te raconterais ça une prochaine fois. C'est une assez longue histoire, je lui lance un léger clin d'oeil pour ponctuer cette part de mystère.
Ses récits sont aussi captivants. Tout comme il est curieux, il aime son savoir. Et le partager semble être une seconde nature chez lui.
- J'ai rarement quitté mon village, j'y suis attaché tu sais, j'ajoute, songeuse. Mais j'aime beaucoup découvrir de nouveaux pays... Dis-moi, pourquoi être devenu marionnettiste ?
Je songe encore à son pantin. Son compagnon à la fois vivant et inexistant. Ce sujet m'intéresse et me passionne un tant soit peu.
- InvitéInvité
- Mon père était un marionnettiste qui a grandi ici mais, tout comme moi il trouvait que le pays du vent était à la fois immense et trop petit. C'est grand mais, peu importe ou l'on regarde... il n'y a que du sable et une vie sauvage réduite. Il a donc fuit Suna. Il avait choisi cet art car, nous sommes une famille d'artisans de père en fils. Lorsque nous vivions au pays des rivières mon père était parmi les seuls à avoir des connaissances en combat. Il se servait aussi bien de ses pantins pour en vendre que pour combattre ou même simplement effrayé les voyous comme les fermiers le font avec leurs épouvantails. Lorsqu'il a su que la quatrième grande guerre était inévitable, il m'a apprit comment faire un pantin. Je sais manipuler les fils depuis que je suis tout petit à force d'imiter mon père par admiration j'imagine. J'ai fabriqué Mr.Louis en me disant que si ce n'était pas de la chance, l'ours dans les bois m'aurait tué. De toute façon, les pantins sont tous vivants quand on y pense. À l'académie on nous apprend que les arbres avant d'être tranché sont vivants parce qu'ils sont remplit de chakra et qu'une fois coupé ils meurent à cause du chakra qui s'échappe. Il en est de même pour les humains et le sang. Pour manipuler Mr.Louis je le remplis de chakra donc il serait logique de dire qu'il est vivant non ?
Nous arrivâmes bientôt à une distance assez moindre pour que les gardes me reconnaisse et se mettent à se murmurer des trucs à mon sujet avant même que nous leur ayons adresser le moindre mot. Ils rigolèrent mais, je ne réagis pas. J'étais épuisé et de plus, j'étais maintenant habitué à ce genre de moqueries. Le village de Suna me prenait pour un fou. Ils envisageaient d'ailleurs de m'envoyer une irou-jutsu (surement en formation) pour prendre soin de moi et m'assurer que je ne deviendrais jamais un danger ni pour moi-même ni pour le village. Bientôt nous fûmes à l'entrée et les deux gardes nous bloquèrent le chemin simplement pour m'agacer.
- Alors, notre fou a réussi à trouver une belle étrangère dans le désert. Tu es vraiment un faiseur de miracle. Dit nous Tekumi je n'ai jamais compris comment tu faisais pour manipulé aussi consciencieusement des fils de chakra alors que ton esprit semble plus brisé à chaque fois que je te vois. et l'autre ajouta simplement : Je suis sure qu'il n'est même pas humain, il doit être un pantin. À ce qu'il parait son père faisait des pantins si réaliste qu'on savait que le pantin en face de nous n'était pas humain qu'une fois qu'il était trop tard. T'imagine le truc ?"puis il s'approcha simplement pour dire "toi et ton ours en peluche c'est de la rigolade à côté...qu'en dis-tu ?"
- Mr.Louis cet homme est beaucoup trop près de moi pour être aussi impoli... qu'en pensez-vous ?Mr.Louis bougea sa patte dénué de toute lames à première vue pour la balancer en direction du garde trop près tel un coup de poing mais le geste du pantin se stoppa à une distance qui n'aurait pas paru menaçante si ce n'était du Tekko-kagi qui servait de griffe à Mr.Louis qui était à une distance si infime de son oeil que le garde en figea. Mr.Louis avait 2 tekko-kagi rétractable (une dans chaque patte avant). L'autre me regardait avec une certaine crainte. Tous deux avaient visiblement bu de l'alcool sur leur lieux de travail. Je hochai ma tête sur le côté en même temps que Mr.Louis. Mon regard vide et ma peau qui rappelait la porcelaine mais, plus foncé créait une certaine illusion
- La dame a besoin de rejoindre Suna...comptez-vous nous en empêcher ?
Les deux hommes se savaient bien trop sous l'effet de l'alcool pour se risquer à dire non. Le pire qui pourrait arriver allait être une réprimande, un rapport.
Nous arrivâmes bientôt à une distance assez moindre pour que les gardes me reconnaisse et se mettent à se murmurer des trucs à mon sujet avant même que nous leur ayons adresser le moindre mot. Ils rigolèrent mais, je ne réagis pas. J'étais épuisé et de plus, j'étais maintenant habitué à ce genre de moqueries. Le village de Suna me prenait pour un fou. Ils envisageaient d'ailleurs de m'envoyer une irou-jutsu (surement en formation) pour prendre soin de moi et m'assurer que je ne deviendrais jamais un danger ni pour moi-même ni pour le village. Bientôt nous fûmes à l'entrée et les deux gardes nous bloquèrent le chemin simplement pour m'agacer.
- Alors, notre fou a réussi à trouver une belle étrangère dans le désert. Tu es vraiment un faiseur de miracle. Dit nous Tekumi je n'ai jamais compris comment tu faisais pour manipulé aussi consciencieusement des fils de chakra alors que ton esprit semble plus brisé à chaque fois que je te vois. et l'autre ajouta simplement : Je suis sure qu'il n'est même pas humain, il doit être un pantin. À ce qu'il parait son père faisait des pantins si réaliste qu'on savait que le pantin en face de nous n'était pas humain qu'une fois qu'il était trop tard. T'imagine le truc ?"puis il s'approcha simplement pour dire "toi et ton ours en peluche c'est de la rigolade à côté...qu'en dis-tu ?"
- Mr.Louis cet homme est beaucoup trop près de moi pour être aussi impoli... qu'en pensez-vous ?Mr.Louis bougea sa patte dénué de toute lames à première vue pour la balancer en direction du garde trop près tel un coup de poing mais le geste du pantin se stoppa à une distance qui n'aurait pas paru menaçante si ce n'était du Tekko-kagi qui servait de griffe à Mr.Louis qui était à une distance si infime de son oeil que le garde en figea. Mr.Louis avait 2 tekko-kagi rétractable (une dans chaque patte avant). L'autre me regardait avec une certaine crainte. Tous deux avaient visiblement bu de l'alcool sur leur lieux de travail. Je hochai ma tête sur le côté en même temps que Mr.Louis. Mon regard vide et ma peau qui rappelait la porcelaine mais, plus foncé créait une certaine illusion
- La dame a besoin de rejoindre Suna...comptez-vous nous en empêcher ?
Les deux hommes se savaient bien trop sous l'effet de l'alcool pour se risquer à dire non. Le pire qui pourrait arriver allait être une réprimande, un rapport.
- InvitéInvité
Je l'ai écouté durant de longues minutes me parlait de son père et de comment il était devenu marionnettiste. En dépit de mon manque de réponse, je me trouvais être particulièrement intéressée par ce qu'il me disait. Néanmoins, la chaleur et le soleil qui n'avait de cesse de m’assommer ne m'aidaient pas à me concentrer sur les mots à prononcés.
Lorsque les silhouettes des gardes se dessinaient plus loin, je reprenais espoir peu à peu. Le village était proche, je pourrais sans doute me reposer un peu. Je n'appréciais pas réellement la chaleur. Un peu, c'était assez pour moi. Et en dépit de mes vêtements assez légers, j'étais en nage.
Mais l'échange qui se produisait entre Takumi et les gardes faisait baisser mon bonheur. Ils semblaient ivres et prenaient Takumi pour un petit diable fou sorti de sa boîte. Il n'en n'était pas un : un brin curieux et bavard, mais d'une compagnie agréable.
Et j'ai toujours détesté ces gens qui se pensent au-dessus de tout et n'importe quoi. Alors, je serrais doucement mon poing et j'attendais. S'ils se montraient réticents, leur état d'ébriété avancé ne les aiderait pas à nous empêcher de progresser.
Takumi prononçait sa dernière phrase, leur demandant simplement s'ils nous laisseraient passer ou non. Mais l'un d'eux - le plus éméché - ricanait dans sa barbe.
- Bon, les deux ivrognes, on va passer ou quoi ? je grognais malgré moi.
Naturellement, je plantais mon poing sur ma hanche, attendant. S'ils comptaient nous empêcher d'une quelconque façon, cette fois, je m'énerverais réellement.
- Oh, elle montre les crocs on dirait, ricanait-il.
Alors, je soupirai et le bousculais légèrement. S'ils souhaitaient me causer des problèmes pour mon " intrusion ", je répliquerais avec leur penchant pour l'alcool. Ils me fixaient tout deux, presque étonnés, cependant que je fixais Takumi.
- Si vous comptez faire un rapport ou je ne sais quoi, allez-y. Sachez simplement que je me nomme Makkura Akuma, je viens de Kiri et si vous allez rapporter quoique ce soit, je me ferais un plaisir de dénoncer votre état d'ébriété. On est d'accords ? J'agrémentais ma réplique d'un petit sourire narquois, voire snob. Tu viens, Takumi ?
Et je continuais ma progression avec le jeune Sunajin.
Le village qui s'étendait à mes pieds était aussi beau que différent de Kiri. Là où l'eau régnait en maître chez moi, ici, il y avait surtout du sable. J'esquissais un léger sourire, alors que je repérais quelques échoppes. Dont des sources. J'avais prodigieusement envie de me rafraîchir.
- Contenu sponsorisé
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|