:: Alentours
- InvitéInvité
- Résumé:
- ESCORTE
Conditions : Rang D ou C.
Description : Nos voisins monastiques, l'ordre du sable, nous a demandé de leur livrer quelques denrées pour leur monastère. Il se trouve en dehors du village de Suna.
Objectif : Emmenez leurs les rations. N'oubliez cependant pas qu'ils sont très à cheval sur la politesse les tradition ; faites honneur au village du sable.
Récompense : 90 Ryos.
Je venais fraîchement d'atteindre le rang C suite à quoi j'avais développé mon talent pour ingénierie. Mr.Louis allait bientôt être mécanisé. On m'avait confié une mission sans même la faire passer par le tableau de bord et j'avais été honoré qu'immédiatement on pense à moi.Cette mission ayant pour but d'entretenir à la fois la bonne entente entre deux groupes, c'est à dire Suna et l'ordre du sable. Je commençais à croire que les gens responsable d'approuver les missions avaient constatés mon talent pour entretenir la bonne entente entre les villages. Il pouvait m'arriver d'avoir mes instants de follies mais, apparemment les gens des autres villages que Suna semblaient m'apprécier. Je devais avoir un charme particulier car la royauté de Roran m'appréciait grandement c'était indéniable. Surement que mon côté candide ne laissait pas entrevoir que je pouvais m'avéré être un danger potentiel. J'étais un peu comme mes pantins quand on y pensait : un extérieur inoffensif mais qui se révélait dangereux lorsqu'il le fallait.
On me confia donc des rations à livrer à l'ordre monastique du sable. Pour me rendre à leur monastère, j'eu même droit à une carte et on insista sur le fait que j'en prenne soin car les cartes menant à cette endroit était produite de manière très limitée. J'en pris donc note. Je pris donc le chemin du Désert du pays du vent dans le but d'atteindre le fameux monastère. D'après ce que je pouvais comprendre des indications sur la carte, ce monastère était des plus reculés dans le désert. Ils semblaient vivre là où les pays du vent,du sable,des montagnes et de la vie se rejoignaient. Peut-être étais-ce pour une raison philosophique qui m'échappait pour l'instant.
C'est donc armé d'un M.Louis tout fraîchement mécanisé que je pris ma route. Je craignais un peu de me rendre aussi loin. J'ignorais quels étaient les animaux comestible du coin alors je fis des réserve. J'allais manger du serpent en quantité dans les jours à venir.
- InvitéInvité
Une fois dans le désert, je n'eu pas vraiment de mal à me retrouvé... du moins, au début c'était le cas. Par la suite, une tempête se leva embrouillant ainsi ma vue. Je décidai de prendre une pose même si j'avais conscience de devoir me rendre au plus tôt au monastère. Je constatai rapidement que la tempête ne se calmait pas alors je repris ma route pour le monastère. Quelque chose me semblait très étrange : plus je semblais m'approcher du lieu et plus le vent était puissant. Peut-être étais-ce simplement la région qui voulait cela. Un moment donné, les bourrasques me paraissaient si forte que je fus forcé d'avancer derrière M.Louis
Bientôt, les bourrasques se calmèrent. Le sable sous mes pieds était maintenant de la terre humide et du gazon. Je regardais derrière moi et je pouvais constater que j'étais encore dans le pays du vent malgré que cela faisait au moins un jour que je marchais puisque j'avais vue la lune faire son apparition et laisser place au soleil de nouveau au cour de mon périple. Devant moi il y avait une arche naturelle sous mes yeux formé par le sol et deux flanc de montagne. le haut de l'arche était simplement la voûte céleste. Au fur et à mesure que j'avançais, je voyais le monastère se dévoilé. Le Monastère était sculpté à flanc de montagne. C'était tout simplement magnifique. C'était si beau et pourtant imparfait à la fois que cela donnait l'impression que le monastère n'avait pas été sculpté par les mains de l'homme mais bel et bien par la nature elle même.
J'y pénétra sans mal. Je fus accueillis avec le plus grand des respects. Ce n'était pas une surprise pour moi. On m'avait avertit que la politesse et les protocoles étaient une nécessité plus qu'une forme d’hypocrisie par ici. Je saluai donc avec respect tout le monde et un moine m'amena devant un homme sur un trône. On me le présenta comme étant un "grand moine". Je compris immédiatement qu'il était un peu comme un chef de village par ici. Il se leva et tout le monde regardèrent vers le sol immédiatement. Il semblait à la fois sage et autoritaire mais j'en fis de même. Il me releva avant les autres sans dire un mot au début. Il tourna quelque peu autour de ma marionnette. Je me demandais si il l'analysait ou bien si il la voyait comme une abomination. Soudainement il me parla franchement.
-... Cela faisait très longtemps qu'un marionnettiste n'avait pas mit les pieds au monastère. Ces..."armes" ont toujours piqué ma curiosité. Néanmoins, celles que j'ai vue auparavant n'étaient pas aussi détaillés. Les marionnettistes me répondaient des choses tout à fait absurde voir parfois abject. Celui qui m'avait fournis l'explication la plus plausible m'avait simplement dit : Pourquoi me forcerais-je à la faire belle quand elle est destinée à être détruite et ré-assemblé encore et encore. Qu'en dis-tu ?
J'étais bouche-bée à la fois par le calme de l'homme que par ce qu'il venait de dire. Certains marionnettistes osaient vraiment parler ainsi en publique ? Certains marionnettistes osaient vraiment penser cela ? Au delà d'une arme, la marionnette d'un marionnettiste était quasiment un être à part entière. Il divertissait les enfants, effrayait les adversaires et comportait plusieurs fonctions (dépendant de ce que le fabriquant en fait).
- Je n'aime pas faire les choses à moitié. J'ai fais cette marionnette pour qu'elle me protège alors il n'est pas dans mon intérêt de la faire fragile, irréaliste et faible.
Il sembla en prendre note dans son esprit et il ajouta simplement.
- Je vois ça. Vous êtes un des premiers shinobi à venir ici et à autant respecter notre protocole et nos bonnes manières. Comme la plupart des gens que l'on nous envoie sont des Genin à peine sortit de l'académie, il n'est pas étonnant qu'ils aient une vision aussi réduite du monde. Ils semblent croire que seul la bataille compte alors certains en oublie de prêter attention aux besoins des autres. Ils oublient pourquoi ils se battent. Changeons de sujet, j'imagine que vous avez ce que nous avons demandé à Suna si vous êtes ici.
J'ouvris le ventre de M.Louis pour en sortir des sacs de nourriture. Les moines les ramassèrent les uns après les autres.
Bientôt, les bourrasques se calmèrent. Le sable sous mes pieds était maintenant de la terre humide et du gazon. Je regardais derrière moi et je pouvais constater que j'étais encore dans le pays du vent malgré que cela faisait au moins un jour que je marchais puisque j'avais vue la lune faire son apparition et laisser place au soleil de nouveau au cour de mon périple. Devant moi il y avait une arche naturelle sous mes yeux formé par le sol et deux flanc de montagne. le haut de l'arche était simplement la voûte céleste. Au fur et à mesure que j'avançais, je voyais le monastère se dévoilé. Le Monastère était sculpté à flanc de montagne. C'était tout simplement magnifique. C'était si beau et pourtant imparfait à la fois que cela donnait l'impression que le monastère n'avait pas été sculpté par les mains de l'homme mais bel et bien par la nature elle même.
J'y pénétra sans mal. Je fus accueillis avec le plus grand des respects. Ce n'était pas une surprise pour moi. On m'avait avertit que la politesse et les protocoles étaient une nécessité plus qu'une forme d’hypocrisie par ici. Je saluai donc avec respect tout le monde et un moine m'amena devant un homme sur un trône. On me le présenta comme étant un "grand moine". Je compris immédiatement qu'il était un peu comme un chef de village par ici. Il se leva et tout le monde regardèrent vers le sol immédiatement. Il semblait à la fois sage et autoritaire mais j'en fis de même. Il me releva avant les autres sans dire un mot au début. Il tourna quelque peu autour de ma marionnette. Je me demandais si il l'analysait ou bien si il la voyait comme une abomination. Soudainement il me parla franchement.
-... Cela faisait très longtemps qu'un marionnettiste n'avait pas mit les pieds au monastère. Ces..."armes" ont toujours piqué ma curiosité. Néanmoins, celles que j'ai vue auparavant n'étaient pas aussi détaillés. Les marionnettistes me répondaient des choses tout à fait absurde voir parfois abject. Celui qui m'avait fournis l'explication la plus plausible m'avait simplement dit : Pourquoi me forcerais-je à la faire belle quand elle est destinée à être détruite et ré-assemblé encore et encore. Qu'en dis-tu ?
J'étais bouche-bée à la fois par le calme de l'homme que par ce qu'il venait de dire. Certains marionnettistes osaient vraiment parler ainsi en publique ? Certains marionnettistes osaient vraiment penser cela ? Au delà d'une arme, la marionnette d'un marionnettiste était quasiment un être à part entière. Il divertissait les enfants, effrayait les adversaires et comportait plusieurs fonctions (dépendant de ce que le fabriquant en fait).
- Je n'aime pas faire les choses à moitié. J'ai fais cette marionnette pour qu'elle me protège alors il n'est pas dans mon intérêt de la faire fragile, irréaliste et faible.
Il sembla en prendre note dans son esprit et il ajouta simplement.
- Je vois ça. Vous êtes un des premiers shinobi à venir ici et à autant respecter notre protocole et nos bonnes manières. Comme la plupart des gens que l'on nous envoie sont des Genin à peine sortit de l'académie, il n'est pas étonnant qu'ils aient une vision aussi réduite du monde. Ils semblent croire que seul la bataille compte alors certains en oublie de prêter attention aux besoins des autres. Ils oublient pourquoi ils se battent. Changeons de sujet, j'imagine que vous avez ce que nous avons demandé à Suna si vous êtes ici.
J'ouvris le ventre de M.Louis pour en sortir des sacs de nourriture. Les moines les ramassèrent les uns après les autres.
- InvitéInvité
Une fois que la distribution fût faite et que le surplus fût rangé par les moines eux même, ils me remercièrent tous par des prières dans une langue que je ne connaissais pas. Je conclu qu'il s'agissait de remerciement simplement à cause de leurs visages ampli de joie et de reconnaissance. J'avais trouvé particulier qu'ils refusent mon aide à ranger mais ils semblaient être fier. Le grand moine me remercia d'être passé et d'avoir accompli cette tâche qui était littéralement une question de vie ou de mort.
Comme il se faisait tard, il m'invita à rester au monastère pour la nuit. J'acceptai avec grand plaisir. Le monastère et ses alentours témoignaient d'un grand sens du détail et d'une grande volonté de travailler. Il était évident qu'au nombre qu'ils étaient, le travail devait s'effectuer dans la bonne entente. Lorsque je fûs amené à ma chambre, je ne revins pas de ce à quoi j'avais droit. On aurait dit une chambre digne d'un palace. Certes c'était minimaliste puisque dans un monastère mais néanmoins d'une propreté et fonctionnalité irréprochable. L'ordre du sable se couchait à une heure plutôt hâtive. Le soleil n'était pas encore totalement couché qu'on éteignait les lampions. Cela n'était pas dans mes habitudes mais, je respectais leurs coutumes et habitudes.
Dès le lendemain matin, je me levai rapidement. On m'offrit un petit déjeuné bien copieux et je participa à la corvée de vaisselle pour ensuite reprendre ma route vers Suna. Les gens du coin semblaient m'avoir apprécié et j'en étais bien content. Il y avait eu plus de peur que de mal vue ce que l'on m'avait dit sur cet ordre. On me les avais présenté comme si ils étaient des gens très dur à satisfaire ce qui était en parti vrais mais on m'avait surtout décrit ceux-ci comme étant des gens peu reconnaissant alors que cela n'avait rien à voir avec la vérité.
Une fois que je fus de retour à Suna, je me rendis au bureau pour annoncer que j'avais terminé la mission et je constatai qu'il avait une lettre en main. Il m'annonça que cette lettre venait du monastère et qu'elle complimentait la manière dont je m'étais comporté envers cet ordre religieux. Je cru voir au coin de son regard une étincelle de fierté à mon égard.
Comme il se faisait tard, il m'invita à rester au monastère pour la nuit. J'acceptai avec grand plaisir. Le monastère et ses alentours témoignaient d'un grand sens du détail et d'une grande volonté de travailler. Il était évident qu'au nombre qu'ils étaient, le travail devait s'effectuer dans la bonne entente. Lorsque je fûs amené à ma chambre, je ne revins pas de ce à quoi j'avais droit. On aurait dit une chambre digne d'un palace. Certes c'était minimaliste puisque dans un monastère mais néanmoins d'une propreté et fonctionnalité irréprochable. L'ordre du sable se couchait à une heure plutôt hâtive. Le soleil n'était pas encore totalement couché qu'on éteignait les lampions. Cela n'était pas dans mes habitudes mais, je respectais leurs coutumes et habitudes.
Dès le lendemain matin, je me levai rapidement. On m'offrit un petit déjeuné bien copieux et je participa à la corvée de vaisselle pour ensuite reprendre ma route vers Suna. Les gens du coin semblaient m'avoir apprécié et j'en étais bien content. Il y avait eu plus de peur que de mal vue ce que l'on m'avait dit sur cet ordre. On me les avais présenté comme si ils étaient des gens très dur à satisfaire ce qui était en parti vrais mais on m'avait surtout décrit ceux-ci comme étant des gens peu reconnaissant alors que cela n'avait rien à voir avec la vérité.
Une fois que je fus de retour à Suna, je me rendis au bureau pour annoncer que j'avais terminé la mission et je constatai qu'il avait une lettre en main. Il m'annonça que cette lettre venait du monastère et qu'elle complimentait la manière dont je m'étais comporté envers cet ordre religieux. Je cru voir au coin de son regard une étincelle de fierté à mon égard.
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