Seiki.
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La quête du pouvoir a toujours été un dangereux moteur. Malgré les sentiers destructeurs qui devaient être empruntés pour y accéder, les guerriers de cette ère en ont fait leur essence. Ils pourfendaient les terres décharnées - avec une gloire exquise, des dogmes écrasant les âmes et un seul dessein : détruire, posséder, dominer. Les grandes contrées étaient bercées par le fer des armes, une mélodie routinière dans ce climat sous tension constante.Afin de plus rapidement effleurer l'apogée du prestige, des clans naquirent et de puissants êtres ne firent plus qu'un pour s'assurer d'une invulnérable descendance. Au cœur du chaos, émergèrent des factions, des combattants liés par le sang, le chakra et les capacités. Leurs apparitions diminuèrent le désordre créé par les soldats indépendants – qui se rangèrent face à cette montée en puissance. L’accalmie permit aux Daimyos - anciennement terrassés par ce chaos, de reprendre leurs fonctions. Les frontières se dressèrent, scindant les nations divisées.



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Sujet : une première chasse ▬ osou | solo | act 1 ch 2

rédigé le Jeu 31 Mar - 17:00
Mission de rang S a écrit:
Rang : S.
Conditions : Nukenin de rang A.
Description : Rendez vous dans un village mineur et répandez-y la peur et la rivière de sang ! Beaucoup de ces cités regorgent de richesse, et l'Alpha aimerait bien récupérer cet or ! Que des Shinobis, membres de la population ou autre se dressent sur votre passage, n’ayez aucune pitié ! Cela ne fera que plus plaisir aux forces de l’ombre qui rêvent de voir la chute de certains village et qui ne seront pas ingrats sur la récompense...
Récompense : 500 Ryos.

Les yeux du Chammadaï grignotaient le papier. Allant d'une ligne à l'autre sans jamais s'arrêter; comme d'habitude, l'identité du propriétaire de la mission n'était pas inscrit. Encore heureux dira-t-on, un exemplaire unique, qu'il allait dorénavant garder précieusement à un endroit secret de son crû. En effet, l'ordre de mission constituait la chose la plus idiote à garder sur lui en cas de capture et, même s'il préférait le garder en cas de non prise en compte de la mission, il tenait à s'en débarrasser. Bien entendu, il le récupérera à la fin de sa mission, empochera les gains et brûlera le papier jaunit.

Il avait pénétré dans la tanière, s'était dirigé vers le tavernier, s'exclamant de sa belle voix.
CHAMMADAÏ OSOU « Voilà, j'ai donc bien fini ma journée... Chef, on s'retrouve demain à la même heure. Enfin, ce n'est pas sûr cette fois, j'ai deux-trois nouvelles technologies à aller voir de mes yeux. A plus tous le monde. »
Puis il s'en était allé, n'oubliant pas de retourner dans son "bureau" afin de clore toutes les issues et entrées. Il cacha l'ordre dans un petit récipient en verre qu'il glissa entre deux troues dans le parquet, lesquels ne grinçaient ni se sentaient. Puis il était sorti, se décidant à repartir chez lui afin d'enfiler des vêtements plus apte au transport et aux plusieurs journées de glandes qui allaient certainement s’enchaîner. Enfin "glande", le mot s'entend de lui-même pour Osou... Glander, c'est observer en réalité.

Aussi se dépêchait-il de se rentre chez lui. Il déposa ses vêtements d'un haut crus sur son lit, tâchant de ne pas les plier plus que de raison en sachant qu'il les récupérera dans un futur plutôt proche. Le Chammadaï se dépécha d'enfiler un survêtement couleur bleu nuit, d'attacher sa sacoche à Shuriken, Kunai. Il se vêtit ensuite d'un pull de la même couleur qu'il encercla d'une veste de ninja plus sombre que celle prisée par les grands villages ninjas. Il se saisit finalement de ses Senbons qu'il attacha sur sa jambe gauche. Carquois, arc fièrement entreposé sur son dos, il ferma son appartement et se dirigea rapidement vers les transports. C'est à dire, le port civil le plus proche du village du Loup et des extrémités... Où il logeait.

Ses pensées naviguèrent plus vite que son corps physique, qu'importait l'actuelle place de son état spatial, il était plus que jamais tournée vers sa mission. Imaginant déjà les divers lieux dans lesquels pouvaient prendre place cette mission. L'important, que la faune et la flore soient développées dans ses alentours... Que le pays possède une importante source d'eau dans ses environs afin que ses Jutsus de nature acqueuses soient à la plus haute puissance à laquelle il peut les délivrer. Pas d'équipe, cette mission sera executée selon ses règles. Recherche d'information; état du village; population; et extermination. Le métier de Nuke-nin n'était pas toujours facile, il est sûr qu'il ne sera certainement pas fier de cette mission; aussi sûr qu'il ne souhaitera pas l'oublier. Il frappa son crâne contre sa paume.
CHAMMADAÏ OSOU « Putain, il faut toujours que j'oublie mes clopes! »


**

Il se passera déjà une bonne journée avant qu'il n'arrive au port, heureusement, le bateau n'embarquait que le lendemain, cela lui permettait de faire une rapide mise au point avec son allier pour cette mission.
Osou s'isola, se séparant légèrement de son côté humain.

une première chasse ▬ osou | solo | act 1 ch 2 Tumblr_mqceutSZ441qixosbo2_500

Le Chammadaï composa une série de mudra avant de se mordre la paume. De sa gerbe de sang jaillit un nuage de fumée assez imposant qui lui coûta près d'un cinquième de son chakra. Dans un sourire, Osou caressa un museau qui jaillit rapidement du nuage.
KASHIKOÏ « Tu commences à ne plus pouvoir te passer de moi, jeune homme.  »
CHAMMADAÏ OSOU « Une telle beauté, je dois avouer que c'est difficile, effectivement. »
Ses yeux plongèrent dans ceux carmins de l'animal aux poils ténébreux. Rien ne l'attirait plus chez cet animal que cette allure de chien des enfers. En effet, qui pouvait seulement le voir dans la plus totale des obscurités. Ses yeux s'écarquillèrent légèrement tant dis que l'animal se transforma en un homme qu'Osou cotoyait autrefois, et qui représentait pour lui bien plus qu'un ami. Absolument pas dans le domaine des intimes, plus dans le domaine de la famille. A chaque fois que l'animal prenait cette forme qui caractérisait pour Osou le cadeau ultime qu'il faisait à cet ami, un petit pincement provoquait une grande douleur dans sa poitrine, il avait beau tenter la contrer, c'était rarement possible.
CHAMMADAÏ OSOU « Alors Kashikoy, aujourd'hui je ne t'appel pas pour qu'on se la touche, mon grand. »
KASHIKOÏ « En général, tu te la touches quand tu m'appels, chien. Maintenant dit moi ce que me vaut cet honneur...  »
CHAMMADAÏ OSOU « C'est simple Yuu... mon grand. On a un contrat assez contre nature à réaliser. Avant que tu me demandes ce que c'est... On doit rependre peur et terreur ainsi que piller un village mineur. »
KASHIKOÏ « Hum... Je vois, pas très saint tout ça. »
CHAMMADAÏ OSOU « Je ne suis pas un déserteur pour rien, mon frère. Après, on va pouvoir se servir de ça pour purger un petit peu le village; tentons de trouver deux-trois malfrats méconnues et bien aimés, il y en a toujours... On se sert d'eux pour rependre la peur, et on les guillotine sans plus de cérémonie face au peuple. Éventuellement se servir de la meute pour effrayer ... »
KASHIKOÏ « Tu vas bien vite, gros... Ça ne te ressemble pas, excité ou non? J'en ai bien l'impression. J'ai l'impression que tu sais déjà où l'on va, concentrons-nous sur ça, après... On observe et on en tirera les conclusions à ce moment-là, comme tu m'as appris à le faire. Ne changeons pas un mode opératoire qui nous préserve, tout deux et la meute. »µ
CHAMMADAÏ OSOU « Tu as bien raison, ahah. Je pensais au pays des marécages, tu sais bien pourquoi, je suppose. Ou sinon certains villages du Pays des Rivières qui me paraissent plutôt bien préservé. »
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